
À 83 ans, le Nééerlandais Paul Verhoeven présentait, en grande première à Cannes en juillet dernier, son tout récent BENEDETTA. Ce drame biographique librement inspiré du livre de Judith C. Brown arrive enfin en salles le vendredi 6 décembre.
Reconnu pour son sens de la provocation, ses excès de violence et son goût pour la nudité, Verhoeven s’est fait une spécialité des propositions audacieuses, tantôt très réussies, parfois aussi, douloureusement ratées. Sa vision satirique, omniprésente dans ses productions américaines, lui servait sciemment dans Robocop, mais de moins en moins au fil des œuvres suivantes.
En 2006, le cinéaste a retrouvé de sa vivacité grâce au Carnet noir, titre marquant un nouveau cycle de longs-métrages européens. Survol en quelques œuvres du meilleur comme du pire de Paul Verhoeven.
Le réalisateur de Deux femmes en or et Bonheur d’occasion s’est éteint, jeudi 16 mars, à l’âge de 91 ans.
À l’affiche de Boston Strangler, déposé sur Disney+ ce vendredi, Keira Knightley interprète une journaliste enquêtant sur un tueur en série.
Les résultats de notre seconde série de révision de cote « Grands maîtres sans (1) » seront publiés la semaine prochaine.
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