
À 83 ans, le Nééerlandais Paul Verhoeven présentait, en grande première à Cannes en juillet dernier, son tout récent BENEDETTA. Ce drame biographique librement inspiré du livre de Judith C. Brown arrive enfin en salles le vendredi 6 décembre.
Reconnu pour son sens de la provocation, ses excès de violence et son goût pour la nudité, Verhoeven s’est fait une spécialité des propositions audacieuses, tantôt très réussies, parfois aussi, douloureusement ratées. Sa vision satirique, omniprésente dans ses productions américaines, lui servait sciemment dans Robocop, mais de moins en moins au fil des œuvres suivantes.
En 2006, le cinéaste a retrouvé de sa vivacité grâce au Carnet noir, titre marquant un nouveau cycle de longs-métrages européens. Survol en quelques œuvres du meilleur comme du pire de Paul Verhoeven.
Rencontré au tiff, Hirokazu Kore-eda nous parle du père, du fils et de son nouveau film, Monster, en salle cette semaine.
Décembre signale à Mediafilm qu’il est temps de réévaluer les films cotés (2) d’il y a 20 ans.
Pour souligner la sortie de Maestro, Mediafilm remonte le temps pour faire ressurgir cinq portraits mémorables de chefs d’orchestre.
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