À 83 ans, le Nééerlandais Paul Verhoeven présentait, en grande première à Cannes en juillet dernier, son tout récent BENEDETTA. Ce drame biographique librement inspiré du livre de Judith C. Brown arrive enfin en salles le vendredi 6 décembre.
Reconnu pour son sens de la provocation, ses excès de violence et son goût pour la nudité, Verhoeven s’est fait une spécialité des propositions audacieuses, tantôt très réussies, parfois aussi, douloureusement ratées. Sa vision satirique, omniprésente dans ses productions américaines, lui servait sciemment dans Robocop, mais de moins en moins au fil des œuvres suivantes.
En 2006, le cinéaste a retrouvé de sa vivacité grâce au Carnet noir, titre marquant un nouveau cycle de longs-métrages européens. Survol en quelques œuvres du meilleur comme du pire de Paul Verhoeven.
En salle le 19 avril, Do Not Expect Too Much From the End of the World met en scène une jeune femme mandatée par une multinationale afin de documenter le processus de casting d’une vidéo sur la sécurité au travail dans les rues de Bucarest.
La Bête raconte, à trois époques différentes, la romance impossible entre un homme et une femme que l’amour aurait dû souder, mais que la peur a divisés.
Spider-Man retrouve le chemin du grand écran. Chaque lundi jusqu’au 3 mai, Cineplex projette l’un des 8 films de la saga cinématographique mettant en scène le superhéros arachnéen.
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