Mediafilm guide les cinéphiles québécois depuis 1955

Les cotes de Mediafilm

Les cotes de Mediafilm (1) à (7) ont été créées en 1968 par Robert-Claude Bérubé, en remplacement des cotes morales (Tous, Adolescents et Adultes, À déconseiller, À proscrire) proposées depuis 1955, année de parution du premier Recueil des films par le Centre catholique national du cinéma, de la radio et de la télévision — ancêtre de Mediafilm. La cote d’un long métrage n’est jamais attribuée au hasard. Elle doit, au meilleur de notre connaissance, refléter l’accueil critique d’un film au moment de sa sortie/parution.

Les cotes

C’est le sommet de l’Everest du 7e Art. Mediafilm n’attribue jamais la cote (1) aux films âgés de moins de 20 ans.

C’est la plus haute distinction qu’un film puisse obtenir à chaud. Elle signifie que le film présente des qualités artistiques exceptionnelles.

L’originalité, la pertinence et la qualité de l’écriture, de la mise en scène et de l’interprétation sont les principaux attributs d’un très bon film.

On a habituellement peu de reproches importants à adresser à un film coté (4). S’il n’est pas toujours transcendant ou original, son pari est réussi et son exécution, solide.

La note moyenne signifie qu’un film possède autant de défauts que de qualités, bien que les premiers soient, la plupart du temps, plus visibles que les seconds.

Ratés, sans équivoque possible, ces films sont néanmoins le fruit d’une intention artistique plus ou moins perceptible, et d’une exécution technique passable.