La sortie en salle de Crépuscule pour un tueur nous a incité à cibler 10 films d’ici, dont les récits, fictifs ou tirés de faits divers, s’inspirent du monde interlope.
Si le crime ne paie pas, l’étrange fascination que nous entretenons envers les braqueurs, tueurs à gages et autres gangsters rapportent gros au cinéma. Et bien que nous ne puissions rivaliser en nombre de productions vis-à-vis des Américains et des Européens, le cinéma québécois n’est pas en reste.
Pensons d’abord à la vie de criminels notoires immortalisés au grand écran, de Monica Proietti, la « Bonnie Parker québécoise » (Monica la mitraille) à Gérard Gallant (Confessions), en passant par Marcel Talon (Le dernier tunnel). Et que dire de Requiem pour un beau sans-coeur de Robert Morin, film s’inspirant librement de la vie de Richard Blass, l’un des plus dangereux criminels que le Québec ait connu.
Au-delà de ces êtres peu recommandables, devenus célèbres pour leurs actes répréhensibles, le cinéma d’ici s’est aussi penché sur l'univers du crime organisé. Dans cette catégorie s’inscrivent Mafia Inc. de Daniel Grou, dont la facture évoque le cinéma de Coppola et de Scorsese, et l’incontournable Réjeanne Padovani de Denys Arcand, pour lequel le réalisateur pose un regard aussi juste que critique sur le milieu de la pègre et de la corruption.
Sept ans après La danseuse, sur la stupéfiante Loïe Fuller, Stéphanie Di Giusto s'attaque en beauté à une autre femme-phénomène dans Rosalie, en salle au Québec dès le 26 avril.
Josh O’Connor et Mike Faist se livrent une joute sulfureuse pour gagner le cœur de Zendaya dans Challengers, plus récent film réalisé par Luca Guadagnino.
En ce Jour de la Terre, célébré pour la première fois en 1970, Mediafilm propose de revisiter 7 films qui ont abordé, chacun à leur manière, des enjeux liés à la crise écologique.
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