La sortie en salle de Crépuscule pour un tueur nous a incité à cibler 10 films d’ici, dont les récits, fictifs ou tirés de faits divers, s’inspirent du monde interlope.
Si le crime ne paie pas, l’étrange fascination que nous entretenons envers les braqueurs, tueurs à gages et autres gangsters rapportent gros au cinéma. Et bien que nous ne puissions rivaliser en nombre de productions vis-à-vis des Américains et des Européens, le cinéma québécois n’est pas en reste.
Pensons d’abord à la vie de criminels notoires immortalisés au grand écran, de Monica Proietti, la « Bonnie Parker québécoise » (Monica la mitraille) à Gérard Gallant (Confessions), en passant par Marcel Talon (Le dernier tunnel). Et que dire de Requiem pour un beau sans-coeur de Robert Morin, film s’inspirant librement de la vie de Richard Blass, l’un des plus dangereux criminels que le Québec ait connu.
Au-delà de ces êtres peu recommandables, devenus célèbres pour leurs actes répréhensibles, le cinéma d’ici s’est aussi penché sur l'univers du crime organisé. Dans cette catégorie s’inscrivent Mafia Inc. de Daniel Grou, dont la facture évoque le cinéma de Coppola et de Scorsese, et l’incontournable Réjeanne Padovani de Denys Arcand, pour lequel le réalisateur pose un regard aussi juste que critique sur le milieu de la pègre et de la corruption.
Après le succès de And Then We Danced, le Suédois Levan Akin est de retour avec Crossing, une magnifique ode à la solidarité entre trois étrangers. Entrevue avec un cinéaste empathique et humaniste.
Dans Deadpool & Wolverine, en salle le 26 juillet, Hugh Jackman interprète pour la dixième fois son personnage iconique de mutant aux griffes d’acier issu de l’écurie Marvel. Portrait de l’acteur en sept autres incarnations.
Dans 1995, Ricardo Trogi se penche, avec son inimitable auto-dérision, sur sa participation à l’édition 1994-95 de la Course destination monde. Entretien avec un réalisateur dont la carrière à été propulsée par cette aventure.
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