Pour des milliers de Québécois.e.s, février est synonyme du Défi 28 jours sans alcool. Pour l’occasion, Mediafilm vous suggère 10 films qui vous encourageront à tenir bon.
Qu'importe les raisons qui vous motivent à prendre une pause d’alcool pendant 28 jours, peut-être que l’envie de boire un verre s'intensifiera au fil du temps. Si la soif vous guette, ces longs métrages, sur les effets néfastes de la consommation, pourraient vous convaincre de résister, et qui sait, en inciter d’autres à participer au Défi l’an prochain…
Deux jeunes touristes (Julia Garner et Jessica Henwick) à court d’argent, se font embaucher dans un bar malfamé de l’Outback australien. Ajoutez l’alcool à la masculinité toxique qui domine ce bled perdu, et vous avez tous les ingrédients pour obtenir un cocktail explosif.
Dans ce film de Thomas Vinterberg (Fête de famille, La chasse), l’expérience scientifique de quatre enseignants, qui consiste à s’enivrer graduellement à chaque jour, s’avère à la base plutôt amusante. Or, ceux-ci découvriront à leurs dépens que cette expérimentation ne sera pas sans conséquences…
La vie d’un auteur alcoolique (Jean Dujardin) est bouleversée par l’arrivée d’un homme (Albert Dupontel) qui se présente comme étant son cancer du cerveau. Est-ce la cause de ses abus?
François Cluzet incarne un journaliste et père de famille qui entreprend une cure de désintoxication afin de combattre sa dépendance à l’alcool. Un film sobre où l’on constate qu’il n’est pas évident de lutter contre ses démons.
À voir Nicolas Cage, phénoménal dans la peau d’un scénariste hollywoodien déterminé à se saouler jusqu’à la mort, l’expression « la modération a bien meilleur goût» prend tout son sens.
Charles Bukowski, à qui le cinéaste Barbet Schroeder avait commandé le scénario autobiographique, projette de lui-même l’image peu reluisante d’un ivrogne fini. Celui-ci est incarné avec brio par Mickey Rourke.
Abordé sous l’angle de la comédie burlesque par Blake Edwards (Breakfast at Tiffany’s, The Pink Panther), Blind Date enchaîne les situations cocasses provoquées par une jeune femme, jouée par Kim Basinger, qui supporte mal l’alcool.
Gare à l’alcoolisme! Cela pourrait vous occasionner un réveil aux côtés d’un homme poignardé à mort. C’est à tout le moins ce qui arrive à Jane Fonda dans ce drame policier mis en scène par Sidney Lumet.
Un peu plus de 50 ans avant The Royal Hotel (cité ci-haut), le réalisateur canadien Ted Kotcheff (First Blood) explorait aussi les méfaits de l’abus d’alcool dans un village reculé de l’arrière-pays australien. Ainsi, un instituteur se voit dégoûté par un séjour forcé, au coeur d’une population hostile et encline aux beuveries.
Un écrivain se lance dans une triste odyssée de quelques jours pour satisfaire son besoin d’alcool. Parmi les rares œuvres dramatiques réalisées par Billy Wilder, il s’agit, selon l’avis de Robert-Claude Bérubé, d’un des films les plus réussis sur le sujet.
