
En tête d’affiche de la comédie No Hard Feelings de Gene Stupnitsky, Jennifer Lawrence agit également à titre de productrice.
Connue pour son sens de l’humour et de la répartie, l’actrice de 32 ans, originaire du Kentucky, a démontré, très tôt dans sa carrière, toute l’étendue de son savoir-faire.
Si elle partage d’abord l’écran avec Charlize Theron et Kim Basinger dans The Burning Plain, une histoire de destins entrecroisés réalisée par Guillermo Arriaga (le scénariste de Babel), c’est grâce à son rôle dans l’acclamé Winter’s Bone de Debra Granik qu’elle est révélée.
Empruntant ensuite, et pour une première fois, les traits de la mutante Mystique dans le blockbuster X-Men: First Class, le succès de la jeune comédienne atteint toutefois son apogée au moment où elle incarne Katniss Everdeen, héroïne de la saga The Hunger Games.
En 2012, J. Law interprète, dans Silver Lining Playbook de David O. Russell, une jeune veuve à l’équilibre mental fragile, déterminée à séduire un enseignant bipolaire. Sa performance lui vaut de nombreuses récompenses, dont celle de l’Oscar de la meilleure actrice. Par la suite, le cinéaste poursuit sa fructueuse collaboration avec la comédienne, en lui offrant de savoureuses partitions dans American Hustle et Joy.
Alors que Jennifer Lawrence fréquente brièvement le réalisateur Darren Aronofsky, celui-ci lui confie un rôle exigeant dans Mother!, drame fantastique dans lequel elle s'investit corps et âme. Après avoir renoué avec le personnage de Mystique pour une quatrième fois dans le quelconque Dark Phoenix, l’énergique actrice offre, en revanche, une composition à la hauteur de son talent, dans l’amusante satire Don’t Look Up d’Adam McKay.
L’an dernier, la star hollywoodienne revenait aux sources avec le drame intimiste Causeway de Lila Neugebauer, où elle tient le rôle d’une militaire qui, à la suite d’un traumatisme crânien, essaie tant bien que mal de s’adapter à son retour au bercail.
Voici donc 10 rôles où Jennifer Lawrence s’est illustrée, et dont l’étonnante trajectoire laisse présager un avenir constitué de nombreuses autres performances captivantes.
Rencontré au tiff, Hirokazu Kore-eda nous parle du père, du fils et de son nouveau film, Monster, en salle cette semaine.
Décembre signale à Mediafilm qu’il est temps de réévaluer les films cotés (2) d’il y a 20 ans.
Pour souligner la sortie de Maestro, Mediafilm remonte le temps pour faire ressurgir cinq portraits mémorables de chefs d’orchestre.
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