À l’occasion de la sortie en salle de God’s Creatures, avec Emily Watson, voici cinq des plus saisissantes interprétations offertes par cette grande actrice britannique.
En 1996, Emily Watson mène une carrière enviable au théâtre, à Londres. C’est alors que Lars Von Trier lui offre un premier rôle au cinéma dans Breaking the Waves, après que Helena Bonham-Carter l’ait décliné. Son entrée dans le monde du 7e art est fulgurante. Quelques années plus tard, c’est au tour de la comédienne britannique de refuser le rôle d’Amélie Poulain que lui avait proposé Jean-Pierre Jeunet. Voici donc 5 rôles marquants acceptés par Emily Watson!
Si ce drame bouleversant de Lars Von Trier a trouvé sa place au panthéon de Mediafilm, la performance d’Emily Watson, qui est passée à l'histoire, y est pour beaucoup.
Dans cette évocation de la vie de la violoncelliste Jacqueline Du Pré, l’actrice s’est investie corps et âme, allant même jusqu’à étudier l’instrument pendant plusieurs mois. La comédienne fait à nouveau montre de virtuosité, à l’image de la musicienne qu’elle a si brillamment interprétée.
Grâce à une performance nuancée, Emily Watson parvient à se distinguer au sein d’une distribution de haut calibre dans cette étude des rapports de classes, habilement mise en scène par un Robert Altman en pleine possession de ses moyens.
Cette comédie sentimentale de Paul Thomas Anderson, en marge des conventions du genre, sied à merveille à l’interprète britannique. Contre toutes attentes, la chimie opère entre elle, radieuse et délicate, et Adam Sandler, capable de retenue.
Avec pour toile de fond une intrigue criminelle, ce drame sur les apparences, celles que l’on tente de ménager et les autres, trompeuses, raconte la dérive d’un couple en crise. Face à un Tom Wilkinson en grande forme, Emily Watson lui donne la réplique avec tout le talent qu’on lui connaît.
Le 31 août prochain marquera le 40e anniversaire de la sortie en salle au Québec de La femme de l’hôtel, premier long métrage de Léa Pool. Ce film sublime d’inspiration durassienne se fait l’écho du tout dernier film de la cinéaste d’origine suisse: Hôtel silence, qui prend l’affiche cette semaine au Québec.
S'inspirant de Belle de jour et des comédies de Billy Wilder et Blake Edwards, Caroline Vignal raconte dans Iris et les hommes les échappées belles d'une femme moderne. Rencontre.
Du 27 mars au 21 avril, la Cinémathèque québécoise sort de son cadre, normalement assez solennel, avec un cycle de projections dédié à un des créateurs de cinéma les plus drôles et les plus sous-estimés du XXe siècle: Mel Brooks.
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