Le Bal des vauriens (The Killing of a Chinese Bookie)

É.-U. 1976. Drame social de John Cassavetes avec Ben Gazzara, Timothy Carey, Seymour Cassel. Un joueur invétéré doit éliminer un Chinois pour s'acquitter d'une dette qu'il a contractée envers des gangsters. Curieux contraste entre le monde violent décrit et le style introspectif de la mise en scène. Improvisations contrôlées propres à l'auteur. Jeu fort convaincant de B. Gazzara.

Le Bal des vauriens (The Killing of a Chinese Bookie)

13 ans +

É.-U. 1976. Drame social de John Cassavetes avec Ben Gazzara, Timothy Carey, Seymour Cassel.

Un joueur invétéré doit éliminer un Chinois pour s'acquitter d'une dette qu'il a contractée envers des gangsters. Curieux contraste entre le monde violent décrit et le style introspectif de la mise en scène. Improvisations contrôlées propres à l'auteur. Jeu fort convaincant de B. Gazzara.

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Genre :

Drame social

Année :

1976

Durée :

109 min.

Réalisation :

John Cassavetes

Pays :

États-Unis

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Ben Gazzara
Timothy Carey
Seymour Cassel

Cosmo Vitelli est propriétaire d'une boîte à striptease minable. Joueur invétéré, il contracte une dette d'importance envers des gangsters. Ceux-ci exigent de lui le meurtre d'un Chinois qui leur cause des problèmes. Cosmo s'exécute à contrecoeur et réussit sa mission. Les gangsters décident pourtant de l'éliminer à son tour. Cosmo échappe à un piège mais il en sort blessé. Refusant de se faire soigner, il se rend à son club pour superviser le spectacle.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il s'établit un curieux contraste entre le monde artificiel et violent où évolue le personnage central et le style introspectif de la mise en scène. On sait la place laissée à l'improvisation dans les films de Cassavetes et la dilution du temps qui s'exerce dans le déroulement des séquences. L'application, de cette conception du cinéma aux histoires traditionnelles de gangsters surprend d'abord puis finit par intéresser. Cela est dû en bonne part au jeu de Ben Gazzara qui a rarement été aussi convaincant.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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