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Les Évadés de la planète des singes (Escape from the Planet of the Apes)

É.-U. 1971. Science-fiction de Don Taylor avec Kim Hunter, Roddy McDowall, Bradford Dillman. Trois singes intelligents ayant échoué sur la Terre prétendent venir du futur et d'avoir échappé à une explosion qui détruira la planète dans deux mille ans. Troisième épisode d'une série. Observations ironiques assez amusantes. Réalisation valable et intéressante. Interprétation sympathique de K. Hunter et R. McDowall.

Général
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Les Évadés de la planète des singes (Escape from the Planet of the Apes)

Général Général

É.-U. 1971. Science-fiction de Don Taylor avec Kim Hunter, Roddy McDowall, Bradford Dillman.

Trois singes intelligents ayant échoué sur la Terre prétendent venir du futur et d'avoir échappé à une explosion qui détruira la planète dans deux mille ans. Troisième épisode d'une série. Observations ironiques assez amusantes. Réalisation valable et intéressante. Interprétation sympathique de K. Hunter et R. McDowall.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Paul Dehn
D'après l'oeuvre de Pierre Boulle
Photographie :
Musique :
Montage :
Un vaisseau spatial tombe dans l'océan près des côtes américaines et, trois astronautes en sortent qui se révèlent être des singes. Ils sont transportés dans un zoo où l'un d'eux est victime d'une bête sauvage. Les deux survivants, un couple, s'avèrent être intelligents et doués de la parole. Ils disent venir de l'avenir et avoir échappé à une explosion qui détruira la Terre dans deux mille ans. Obsédé par l'idée d'éviter un futur qui s'annonce désastreux pour la race humaine, un savant décide d'éliminer ces singes savants. Il y parvient, mais le couple a eu le temps de donner naissance à un rejeton.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le scénariste, Paul Dehn, a trouvé une façon ingénieuse de contourner la conclusion apparemment définitive qu'il avait lui-même donnée au film précédent de la série. Le fait de transporter quelques-uns des singes évolués dans le monde contemporain donne lieu à des observations ironiques assez amusantes. La réalisation est fort valable et arrive à maintenir un intérêt constant, mais les honneurs du film reviennent surtout à Kim Hunter et Roddy McDowall qui, sous leur masque de singe, arrivent à se montrer spirituels et sympathiques.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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