
En plus d’avoir coscénarisé Farador d’Édouard Tremblay, Éric K. Boulianne y tient un rôle de premier plan. Lumière sur cet artiste talentueux du cinéma québécois, qui oeuvre souvent dans l’ombre.
Originaire de Charlevoix, Éric K. Boulianne quitte sa région natale en 2002 pour étudier le cinéma à l’UQAM. Sa carrière débute alors par l’écriture de courts métrages, en plus de son travail d’auteur pour la télévision (SNL Québec, Web thérapie).
En 2016, il coécrit son premier long métrage, Prank de Vincent Biron, avec qui il collaborera à nouveau sur Les Barbares de la Malbaie. Entre les deux, le scénariste bonifie son CV, en participant à la scénarisation de deux comédies à succès réalisées par Émile Gaudreault : De père en flic 2 et Menteur.
La dernière année aura été celle de la consécration pour Éric K. Boulianne. Notamment pour son apport à l’adaptation cinématographique du roman Le plongeur, réalisé par Francis Leclerc. Mais plus particulièrement grâce à Viking de Stéphane Lafleur, film coté (2) - Remarquable, sur lequel il a contribué au travail d’écriture, et dont Mediafilm célèbre « la rare intelligence narrative, à partir d’un ingénieux scénario ».
Le nom d’Éric K. Boulianne risque de resurgir à nouveau prochainement, puisqu’il est lié à de nombreux projets de films. Mais qui sait, peut-être aurons-nous un jour l’occasion de l’apprécier davantage devant la caméra…
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