
Succès, rayonnement et excellence décrivent bien l’année cinématographique québécoise.
D’Arsenault et Fils à Zo reken, pas moins de 65 longs métrages de fiction et documentaires produits et coproduits au Québec, ont été évalués par Mediafilm.
Millionnaires au box-office, Confessions de Luc Picard et 23 décembre de Miryam Bouchard ont, de toute évidence, convaincu les spectateurs de se déplacer vers les salles. Les amateurs de cinéma québécois ont aussi répondu présents à l'adaptation cinématographique de la pièce de François Archambault, Tu te souviendras moi, réalisée par Éric Tessier.
Plusieurs oeuvres d’ici ont rayonné à l’international, telles que Babysitter de Monia Chokri à Sundance, Falcon Lake de Charlotte Le Bon à Cannes et Un été comme ça de Denis Côté à Berlin.
Quant à Viking de Stéphane Lafleur et Geographies of Solitude de Jacquelyn Mills, ils deviennent respectivement les 10e et 11e films québécois à être dotés de la cote (2) - Remarquable. Un exploit inédit qui passe à l'histoire de Mediafilm.
Enfin, certains longs métrages auront beaucoup fait réagir ou alimenté les discussions, et ce, avant même leur sortie. Viennent à l’esprit Noémie dit oui, Norbourg, Arlette, Je vous salue salope ou encore Chien blanc.
Selon l’échelle d’appréciation artistique de Mediafilm, les films québécois évalués en 2022 se répartissent ainsi :
Retrouvez ci-dessous les fiches des longs métrages du Québec, cotés (2) et (3) par Mediafilm cette année.
Elephant de Gus Van Sant est-il un chef-d’œuvre? Vingt ans après sa sortie, Mediafilm médite sur la question.
Rencontré au tiff, Hirokazu Kore-eda nous parle du père, du fils et de son nouveau film, Monster, en salle cette semaine.
Décembre signale à Mediafilm qu’il est temps de réévaluer les films cotés (2) d’il y a 20 ans.
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