
À l’occasion de la sortie de Confessions, le 5e film de Luc Picard comme réalisateur, nous vous proposons de parcourir sa carrière derrière la caméra.
Connu depuis 30 ans comme l’un des plus talentueux comédiens québécois, Luc Picard a marqué les esprits au petit écran, mais également dans des films aussi divers que Octobre, Un dimanche à Kigali, Savage Messiah ou La femme qui boit.
En 2005, il tente sa chance comme réalisateur alors qu’il séduit autant la critique que le public avec L’audition, un premier long métrage, teinté d’autobiographie, où il incarne un petit truand qui prend des cours pour réaliser son rêve : devenir acteur.
Pour ses deux films suivants, le cinéaste collabore avec Fred Pellerin pour explorer, dans Babine et Ésimésac, l’univers merveilleux mais profondément ancré dans la culture québécoise du célèbre conteur.
Changement de décor radical avec Les rois mongols, belle reconstitution des années 70 autour d’une adolescente idéaliste pendant la crise d’Octobre, et dont les désillusions reflètent les rêves brisés des nationalistes de l’époque.
Observateur et commentateur de la société québécoise, tant dans sa vie de citoyen que dans la pratique de son métier, Luc Picard joue, dans son 5e film, un homme en apparence « ben ordinaire », mais qui a été le plus grand tueur à gages du Québec. Une mise en scène alerte et dynamique pour un réalisateur en pleine évolution.
Décembre signale à Mediafilm qu’il est temps de réévaluer les films cotés (2) d’il y a 20 ans.
Pour souligner la sortie de Maestro, Mediafilm remonte le temps pour faire ressurgir cinq portraits mémorables de chefs d’orchestre.
Les feuilles mortes, 13e long métrage du Finlandais Aki Kaurismaki et Prix du Jury à Cannes, se dépose enfin sur nos écrans.
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