School Daze

Name: School Daze
Director: Spike Lee
Genre: Comédie satirique
Duration: 120 min.

É.-U. 1988. Comédie satirique de Spike Lee avec Laurence Fishburne, Giancarlo Esposito, Tisha Campbell. Dans un collège fréquenté uniquement par des Noirs, deux groupes rivaux s'affrontent. Évocation des discriminations internes entre Noirs. Construction dramatique déséquilibrée. Dialogues à l'emporte-pièce. Mise en scène parfois maladroite. Interprétation ne manquant pas d'ardeur.

School Daze (School Daze)

Général

É.-U. 1988. Comédie satirique de Spike Lee avec Laurence Fishburne, Giancarlo Esposito, Tisha Campbell.

Dans un collège fréquenté uniquement par des Noirs, deux groupes rivaux s'affrontent. Évocation des discriminations internes entre Noirs. Construction dramatique déséquilibrée. Dialogues à l'emporte-pièce. Mise en scène parfois maladroite. Interprétation ne manquant pas d'ardeur.

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Genre :

Comédie satirique

Année :

1988

Durée :

120 min.

Réalisation :

Spike Lee

Photographie :

Ernest Dickerson

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Laurence Fishburne
Giancarlo Esposito
Tisha Campbell

Dans un collège fréquenté uniquement par des Noirs, deux groupes rivaux s'affrontent Il y a les activistes, dont le chef est Dunlap, qui protestent contre le fait que l'institution ait des investissements financiers en Afrique du Sud, et les conformistes, membres d'une fraternité collégiale. Le cousin de Dunlap cherche à se faire accepter dans ce club dit fraternel. On lui impose diverses humiliations qu'il supporte avec équanimité, mais, une fois devenu membre à part entière, il se retourne contre son cousin.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Fort du succès de son premier film, SHE'S GOTTA HAVE IT, réalisé avec de petits moyens, Spike Lee a obtenu de la Columbia un budget généreux pour SCHOOL DAZE où il s'attaque aux discriminations que s'imposent entre eux les gens de race noire. Le milieu du collège lui sert de microcosme pour un discours à plus large portée. S'il présente quelque impact par ses dialogues à l'emporte-pièce, le film apparaît pourtant déséquilibré dans sa construction dramatique et parfois maladroit dans sa mise en scène. L'interprétation ne manque pourtant pas d'ardeur et de conviction.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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