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Le Karaté Kid III (The Karate Kid - Part III)

É.-U. 1989. Drame sportif de John G. Avildsen avec Ralph Macchio, Pat Morita, Robyn Lively. Un spéculateur organise un combat de karaté entre un jeune gladiateur sans scrupule et un adolescent timide détenteur du titre de champion. Suite sans grande invention d'une série populaire. Intrigue peu vraisemblable. Réalisation languissante. Interprétation sans surprises.

Général
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Le Karaté Kid III (The Karate Kid - Part III)

Général Général

É.-U. 1989. Drame sportif de John G. Avildsen avec Ralph Macchio, Pat Morita, Robyn Lively.

Un spéculateur organise un combat de karaté entre un jeune gladiateur sans scrupule et un adolescent timide détenteur du titre de champion. Suite sans grande invention d'une série populaire. Intrigue peu vraisemblable. Réalisation languissante. Interprétation sans surprises.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Sony Pictures
Terry Silver, un spéculateur qui s'intéresse aux arts martiaux, a décidé de venger l'humiliation subie par son ami Kreese, un instructeur dont le meilleur élève a été vaincu dans un tournoi par un adolescent timide, Daniel La Russo. Celui-ci vit momentanément avec son mentor, M. Miyagi, un Oriental rompu aux subtilités du karaté. Silver recrute un jeune gladiateur sans scrupules, Mike Barnes, qu'il veut opposer à Daniel dans un prochain tournoi. Malgré les préventions de Miyagi, Daniel s'inscrit pour défendre son titre de champion. Mais Miyagi refuse de contribuer à son entraînement et Silver s'offre hypocritement à le remplacer. Daniel finit par découvrir la duplicité de son nouvel entraîneur mais persiste quand même à concourir.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Assez peu vraisemblable dans sa mise en place et dans ses développements, ce troisième épisode d'une série populaire se contente de reprendre les effets du premier film. On y trouve donc un mélange de confrontations où l'innocence a raison de la cruauté et de dialogues pseudo-philosophiques sur l'esprit des arts martiaux. Malgré le métier du réalisateur, la progression languit et ne présente pas de véritables points d'intérêt. L'acteur qui joue le rôle du "méchant" vole de surcroît la vedette aux protagonistes habituels qui ne se renouvellent guère.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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