Touche pas à la femme blanche

Name: Touche pas à la femme blanche
Director: Marco Ferreri
Genre: Comédie satirique
Duration: 108 min.

Fr. 1973. Comédie satirique de Marco Ferreri avec Marcello Mastroianni, Catherine Deneuve, Philippe Noiret. Le général Custer lance une expédition contre les Sioux et se fait massacrer avec ses hommes. Travestissement burlesque des éléments du western. Décor insolite. Anachronismes constants. Humour facile et lourd. Interprétation chargée.

Touche pas à la femme blanche (Touche pas à la femme blanche)

Général

Fr. 1973. Comédie satirique de Marco Ferreri avec Marcello Mastroianni, Catherine Deneuve, Philippe Noiret.

Le général Custer lance une expédition contre les Sioux et se fait massacrer avec ses hommes. Travestissement burlesque des éléments du western. Décor insolite. Anachronismes constants. Humour facile et lourd. Interprétation chargée.

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Genre :

Comédie satirique

Année :

1973

Durée :

108 min.

Réalisation :

Marco Ferreri

Pays :

France

Distributeur :

Ciné-Art

Interprètes :

Marcello Mastroianni
Catherine Deneuve
Michel Piccoli
Philippe Noiret
Ugo Tognazzi
Alain Cuny
Serge Reggiani
Darry Cowl
Franca Bettoja

Désireux de faire passer le chemin de fer en territoire indien, des financiers font appel à l'armée. Le général Custer, grand massacreur dé Peaux-Rouges, prépare une expédition dès qu'on aura expédié pour la forme les négociations d'usage avec les Sioux. Un affrontement a lieu au cours duquel il est massacré avec ses hommes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le massacre de Little Big Horn et le général Custer, éléments classiques de la légende de l'Ouest, sont traités par Marco Ferreri dans le ton d'un travestissement burlesque tourné dans le décor insolite du quartier dévasté des Halles à Paris. L'anachronisme constant est ici un effet de style soulignant les intentions de satire politique de l'auteur. L'humour manifesté dans les diverses scènes n'est pas d'une finesse confondante et tombe souvent dans la charge facile. Malgré des passages plus vifs et ingénieusement réalisés, l'ensemble se révèle plutôt lourd et controuvé. Les interprètes en remettent à qui mieux mieux.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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