Tout sauf un conte de fées, la vie quotidienne d'un surdoué de 7 ans. Sa mère, ses copains, son collège sont vus avec tact, simplicité, subtilité. Et humour: pour son premier passage derrière la caméra, [Jodie Foster] évite la pesanteur et privilégie la grâce. Chapeau!

[Jodie Foster] a su donner à ce film des accents de vérité qui le rendent touchant. Elle a réussi à ne jamais tirer la couverture à elle et à donner à cet enfant la première place. (...) Peut-être cette première oeuvre manque-t-elle un peu de lyrisme et d'émotion.

Most of the film's emotional power lies in the open, alert, eager-to-please face of Hann-Byrd, making his acting debut. He makes each moment and movement seem valid and authentic, drawing the viewer in.

C'est une histoire charmante, que l'excellente comédienne Jodie Foster (...) nous conte avec beaucoup de sensibilité, campant remarquablement le rôle de la mère (elle n'a jamais été aussi bonne actrice). Excellente interprétation également de Dianne Wiest.

Director Foster, with a supremely sensitive eye toward the boy's terrifying limbo-like childhood, conveys the terrible horror of being an aberration in everyone's eyes. While the film climaxes into a somewhat facile and rosy ending, this uplift does not mar the integrity of the story.

"Mes choix ne sont dictés que par un seul critère: l'émotion. Le pouvoir que possèdent certaines personnes de s'isoler du monde par le seul fait de leur intelligence m'a toujours fascinée. C'est l'une des raisons pour lesquelles j'ai voulu travailler sur ce film."

(...) [Jodie Foster] fait de LE PETIT HOMME un beau film comme un dessin d'enfant, tendu au Petit Prince qui sommeille en chacun de nous. (...) Les performances qu'elles a obtenues de ses acteurs valent (...) à elles seules le déplacement.