To Sleep with Anger

Name: To Sleep with Anger
Director: Charles Burnett
Genre: Comédie dramatique
Duration: 101 min.

É.-U. 1989. Comédie dramatique de Charles Burnett avec Danny Glover, Paul Butler, Mary Alice. Les tensions entre deux frères différents augmentent encore lorsqu'un ami de leur père vient s'installer dans la maison. Étude de moeurs aux allures métaphoriques. Construction dramatique faussement capricieuse. Fin relevant du théâtre de l'absurde. Distribution solide.

To Sleep with Anger (To Sleep with Anger)

Général

É.-U. 1989. Comédie dramatique de Charles Burnett avec Danny Glover, Paul Butler, Mary Alice.

Les tensions entre deux frères différents augmentent encore lorsqu'un ami de leur père vient s'installer dans la maison. Étude de moeurs aux allures métaphoriques. Construction dramatique faussement capricieuse. Fin relevant du théâtre de l'absurde. Distribution solide.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1989

Durée :

101 min.

Réalisation :

Charles Burnett

Pays :

États-Unis

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

Danny Glover
Paul Butler
Mary Alice

Venus de l'Etat du Mississipi, Gideon et Suzie se sont installés dans la banlieue de Los Angeles où ils ont élevé leurs deux fils. L'aîné est resté fidèle aux idées et coutumes traditionnelles de son père alors que le cadet, marié à une femme ambitieuse, veut faire sa marque dans le monde des affaires. Les tensions qui se font sentir entre les deux frères augmentent encore lorsque survient Harry, un vieil ami de leur père, qui s'installe sans cérémonie dans la maison. Gideon en devient malade et Suzie, qui sent que la présence de Harry a un mauvais effet, cherche à se débarrasser de l'intrus, mais celui-ci meurt inopinément.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme son frère de race Spike Lee, Charles Burnett est un cinéaste noir qui s'attache à décrire de façon originale le milieu où il a grandi. Commencé sous la forme d'une étude de moeurs, son film prend des allures métaphoriques avec l'entrée en scène du personnage étrange qu'est Harry. La construction dramatique apparaît capricieuse et pourtant, une fois le récit terminé, on s'aperçoit que les éléments divers s'emboîtent de façon assez rigoureuse jusqu'à une fin relevant du théâtre de l'absurde. Dominée par un Danny Glover savoureux dans le rôle de l'intrus, la distribution est uniformément solide.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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