É.-U. 1988. Drame psychologique de Barry Levinson avec Dustin Hoffman, Tom Cruise, Valeria Golino. Son frère autiste ayant hérité de la fortune de leur père, un vendeur de voitures décide de l'enlever dans le but de faire valoir ses droits. Scénario original. Road movie d'allure intimiste. Mise en scène alerte et inventive. Composition exceptionnelle de D. Hoffman.
Son frère autiste ayant hérité de la fortune de leur père, un vendeur de voitures décide de l'enlever dans le but de faire valoir ses droits. Scénario original. Road movie d'allure intimiste. Mise en scène alerte et inventive. Composition exceptionnelle de D. Hoffman.
Le scénario original de ce road movie d'allure intimiste comporte d'intéressants éléments d'information sur certains problèmes caractériels. Une progression modulée s'établit dans les relations entre les deux principaux personnages au long d'incidents ingénieusement imaginés. La mise en scène, alerte et inventive, profite habilement des divers décors pour suggérer certaines attitudes psychologiques. Dustin Hoffman offre ici une de ces compositions exceptionnelles dont il a le secret.
Texte : Robert-Claude Bérubé
Sheila Benson - Los Angeles Times
Somehow, Hoffman makes all this hypnotically interesting, and, through impeccable timing, sometimes terribly funny a sweet humor which never betrays Raymond's unalterable character.
Vincent Canby - The New York Times
In much the way that Raymond stays detached, the performance seems to exist outside the film but, instead of illuminating RAIN MAN, it upstages the work of everyone else involved.
Amy Dawes - Variety
For most of its longish 140 minutes, RAIN MAN is limited by its subject. (...) Road segment often feels hastily, loosely written, with much extraneous screen time.
Par : Jason Plante, Gatineau
Quoique l'histoire est un peu poussee (Charlie Babbitt capable de tels calculs), le film demeure humain, nous ramenant a des valeurs morales et admissibles. Histoire touchante. On a beau penser ce qu'on veut de Tom Cruise, mais il excelle aux cotes d'un geant: Dustin Hoffman, et seconde par Valeria Golino, une future "mere" des arts. Je lui aurais donne volontiers un (2), pour la technique, et le jeu des acteurs, mais la "mince" erreur demeure dans le scenario...
J'attribue à ce film la Cote