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Indochine

Fr. 1991. Chronique de Régis Wargnier avec Catherine Deneuve, Vincent Pérez, Linh Dan Pham. Follement éprise d'un officier de la marine française, la propriétaire d'une plantation en Indochine voit sa fille adoptive s'amouracher du même homme. Histoire romanesque développée sur fond social et historique. Illustration de classe. Ensemble plutôt artificiel. Interprétation convaincue.

Général
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Indochine (Indochine)

Général Général

Fr. 1991. Chronique de Régis Wargnier avec Catherine Deneuve, Vincent Pérez, Linh Dan Pham.

Follement éprise d'un officier de la marine française, la propriétaire d'une plantation en Indochine voit sa fille adoptive s'amouracher du même homme. Histoire romanesque développée sur fond social et historique. Illustration de classe. Ensemble plutôt artificiel. Interprétation convaincue.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
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Pays :
Distributeur :
C/FP
Récompenses
Propriétaire d'une plantation d'hévéas, Éliane vit depuis toujours en Indochine et ne connaît qu'une seule passion, sa fille adoptive d'origine vietnamienne, Camille. Alors que les premiers troubles indépendantistes éclatent en cette année 1930, Éliane s'éprend passionnément de Jean-Baptiste, un officier de la marine française. Lorsque Camille s'amourache aussi du beau marin, Éliane s'arrange pour le faire muter dans la Baie d'Along. Abandonnant les siens, Camille part rejoindre son amour et découvre en route la misère de ses compatriotes. Recherchés pour meurtre, les amoureux et leur bébé sont cachés par les communistes. Éliane apprend leur sort grâce à la légende qui se crée autour des amants maudits.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Reprenant les recettes des grandes sagas d'antan, ce film brasse allègrement sentiments et tragédies sur fond social et historique, avec une attirance inévitable pour le mélodrame. Filmée avec classe dans un décor exotique à souhait, cette histoire romanesque s'encombre peu de considérations politiques, privilégiant avant tout le spectacle populaire. D'une beauté formelle, la mise en scène est pourtant portée à se faire grandiloquente, manquant du souffle lyrique nécessaire à ses métaphores. S'il est difficile de croire à la spontanéité des sentiments décrits tant l'approche revêt un côté parfois artificiel, ce n'est pas faute de conviction de la part des acteurs.

Texte : Christian Depoorter

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