Tai-Pan

Name: Tai-Pan
Director: Daryl Duke
Genre: Aventures
Duration: 127 min.

É.-U. 1986. Aventures de Daryl Duke avec Bryan Brown, Joan Chen, John Stanton. Au milieu du XIXe siècle, un marchand influent manoeuvre pour que la Grande-Bretagne s'empare de l'île de Hong-Kong où il entreprend alors de bâtir un empire financier. Adaptation superficielle d'un roman de James Clavell. Traitement spectaculaire. Personnages schématiques. Jeu assuré de B. Brown.

Tai-Pan (Tai-Pan)

Général

É.-U. 1986. Aventures de Daryl Duke avec Bryan Brown, Joan Chen, John Stanton.

Au milieu du XIXe siècle, un marchand influent manoeuvre pour que la Grande-Bretagne s'empare de l'île de Hong-Kong où il entreprend alors de bâtir un empire financier. Adaptation superficielle d'un roman de James Clavell. Traitement spectaculaire. Personnages schématiques. Jeu assuré de B. Brown.

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Genre :

Aventures

Année :

1986

Durée :

127 min.

Réalisation :

Daryl Duke

Scénario :

D'après le roman de James Clavell

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Bryan Brown
Joan Chen
John Stanton

Au milieu du XIXe siècle, les commerçants étrangers sont chassés de Chine pour avoir contribué au trafic de l'opium. Un marchand influent, Dick Struan, manoeuvre alors pour que la Grande-Bretagne s'empare de l'île de Hong Kong afin d'y établir une base commerciale. Il entreprend de bâtir un empire financier personnel malgré les manigances de son principal rival, Brock. Le fils de Struan, Culum, vient le rejoindre à Hong Kong et s'éprend de la fille de Brock. Entre-temps, Struan a quelques problèmes avec sa maîtresse chinoise.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tiré d'un roman touffu de James Clavell, l'auteur de Shogun, le scénario accumule les péripéties sans en présenter toujours les tenants et les aboutissants. Les producteurs semblent s'être surtout préoccupés d'en mettre plein la vue, ne redoutant ni les clichés ni les absurdités. Le réalisateur s'efforce avec vaillance de mettre de l'ordre dans les moyens somptueux dont il dispose sans y arriver toujours. Le résultat est spectaculaire mais superficiel et les personnages restent schématiques. Bryan Brown ne manque toutefois pas d'une certaine présence.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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