Desert Hearts

Name: Desert Hearts
Director: Donna Deitch
Genre: Drame psychologique
Duration: 91 min.

É.-U. 1985. Drame psychologique de Donna Deitch avec Helen Shaver, Patricia Charbonneau, Audra Lindley. Au Nevada en 1959, une universitaire se découvre des tendances homosexuelles lorsqu'elle s'éprend d'une jeune employée d'un casino local. Sujet traité avec une candeur déconcertante. Mise en scène un peu rugueuse. Interprétation appréciable de personnages plus typés qu'approfondis.

Desert Hearts (Desert Hearts)

13 ans +

É.-U. 1985. Drame psychologique de Donna Deitch avec Helen Shaver, Patricia Charbonneau, Audra Lindley.

Au Nevada en 1959, une universitaire se découvre des tendances homosexuelles lorsqu'elle s'éprend d'une jeune employée d'un casino local. Sujet traité avec une candeur déconcertante. Mise en scène un peu rugueuse. Interprétation appréciable de personnages plus typés qu'approfondis.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1985

Durée :

91 min.

Réalisation :

Donna Deitch

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Cineplex-Odeon

Interprètes :

Helen Shaver
Patricia Charbonneau
Audra Lindley

En 1959, une universitaire, Vivian Bell, se rend à Reno au Nevada pour y obtenir un divorce. Elle prend pension dans un ranch dirigé par une femme d'âge mûr, Frances Parker, et y fait la connaissance de Cay Rivers, une employée de casino qui préfère la compagnie des femmes à celle des hommes. Cay a le coup de foudre pour Vivian et ne tarde pas à lui faire des avances. Croyant à tort que Vivian a eu une aventure avec Cay, Frances intime à l'étrangère l'ordre de quitter son ranch et fui trouve un hôtel en ville. Mais Cay y rejoint Vivian et elles ont ensemble des relations amoureuses.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après s'être fait la main dans quelques documentaires, la cinéaste Donna Deitch aborde dans son premier film de fiction un thème assez peu souvent abordé au cinéma, l'amour entre femmes. Le sujet est traité avec une candeur déconcertante dans un contexte d'époque propre à évoquer certains tabous sociaux dépassés. Malgré une application évidente de la réalisatrice, la mise en scène reste un peu rugueuse et quelques effets de montage ont de quoi surprendre. L'interprétation d'ensemble est appréciable même si les personnages apparaissent plus typés qu'approfondis.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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