Veraz

Name: Veraz
Director: Xavier Castano
Genre: Drame
Duration: 100 min.

Fr. 1991. Drame de Xavier Castano avec Jean-Michel Portal, Kirk Douglas, Marie Fugain. Plaidoyer en faveur du respect de la nature. Récit encombré de clichés romantiques plutôt éculés. Mise en scène mettant l'accent sur la beauté des paysages. Interprètes de valeur.

Veraz (Veraz)

Général

Fr. 1991. Drame de Xavier Castano avec Jean-Michel Portal, Kirk Douglas, Marie Fugain.

Plaidoyer en faveur du respect de la nature. Récit encombré de clichés romantiques plutôt éculés. Mise en scène mettant l'accent sur la beauté des paysages. Interprètes de valeur.

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Genre :

Drame

Année :

1991

Durée :

100 min.

Réalisation :

Xavier Castano

Pays :

France

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Jean-Michel Portal
Kirk Douglas
Marie Fugain

Ayant fugué pour échapper au pensionnat où l'amène son père, Théo se retrouve démuni au milieu des espaces sauvages des Pyrénées. Il y fait la connaissance de Quentin, un vieux bûcheron bourru et solitaire. Vivant là depuis la fin de la guerre, cet Américain est en harmonie avec la nature dans laquelle il retrouve l'âme de sa défunte fiancée. Amadoué, le vieil homme fait découvrir son univers à Théo. Le drame éclate lorsque Quentin découvre qu'un des ours qu'il protège a dû se ronger la patte pour se libérer d'un piège posé par deux braconniers qui le détestent et qui n'apprécient pas que la fille de l'un d'eux fréquente Théo.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les meilleures intentions ne suffisent pas toujours pour donner les résultats les plus probants. Ce plaidoyer en faveur du respect de la nature a beau véhiculer de très nobles sentiments, il n'en demeure pas moins qu'il souffre de quelques faiblesses. Après avoir vite abandonné des pistes ébauchées dans une introduction un peu confuse, la mise en scène se concentre essentiellement sur l'illustration de superbes paysages qu'elle dépeint avec des élans de belle poésie. Il est pourtant dommage que le propos soit si lourdement assené pour se conclure d'une manière assez hâtive. Tout le talent d'un Kirk Douglas n'empêche pas ce chaleureux conte initiatique de s'encombrer de clichés romantiques plutôt éculés que ne contrôle pas toujours le réalisateur.

Texte : Christian Depoorter

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