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Le Fils de la panthère rose (Son of the Pink Panther)

É.-U. 1993. Comédie policière de Blake Edwards avec Roberto Benigni, Herbert Lom, Claudia Cardinale. Un commissaire de police chargé de retrouver une princesse kidnappée par des terroristes doit faire appel aux services d'un gendarme gaffeur. Style loufoque fidèle aux autres films de la série. Intrigue brouillonne. Gags visuels inégaux. Mise en scène souple. Composition amusante de R. Benigni.

Général
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Le Fils de la panthère rose (Son of the Pink Panther)

Général Général

É.-U. 1993. Comédie policière de Blake Edwards avec Roberto Benigni, Herbert Lom, Claudia Cardinale.

Un commissaire de police chargé de retrouver une princesse kidnappée par des terroristes doit faire appel aux services d'un gendarme gaffeur. Style loufoque fidèle aux autres films de la série. Intrigue brouillonne. Gags visuels inégaux. Mise en scène souple. Composition amusante de R. Benigni.

Le commissaire Dreyfus est chargé par le Président de la république française de retrouver la princesse Yasmine, fille du roi du petit état arabe du Lugash, qui a été kidnappée par des terroristes à la solde d'un officier véreux. Par un concours de circonstances, Dreyfus est obligé de faire appel aux services d'un certain gendarme Jacques qui aurait aperçu la princesse dans une camionnette lors d'un constat d'accident L'officier de police se rend rapidement compte que son subalterne, bredouilleur, gaffeur mais courageux, est le fils illégitime de Jacques Clouseau, dit la panthère rose. Entre-temps, les kidnappeurs reçoivent l'ordre d'éliminer tout témoin gênant. Malheureusement pour eux, Jacques s'est épris de Yasmine.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Près de trente ans après sa création et huit films plus tard, l'hurluberlu fétiche de Blake Edwards reprend du service dans le plus pur style loufoque de la série. Afin de donner un second souffle à cette dernière, les scénaristes ont imaginé un fils spirituel au regretté Peter Sellers en la personne de l'acteur italien Roberto Benigni. Si les pitreries rappellent celles du truculent comique anglais, il émane de Benigni une poésie naïve qui le différencie légèrement de l'esprit pince-sans-rire de son prédécesseur. Construite de façon brouillonne, l'intrigue n'est certes pas des plus neuves, mais les gags visuels, quoique inégaux, se suivent à un bon rythme dans une mise en scène suffisamment souple.

Texte : Christian Depoorter

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