Go to main content
4

Le Journal de Bridget Jones (Bridget Jones's Diary)

É.-U. 2001. Comédie sentimentale de Sharon Maguire avec Renée Zellweger, Colin Firth, Hugh Grant. Les tribulations sentimentales et professionnelles d'une jeune Londonienne qui a le don de se mettre dans l'embarras. Adaptation charmante mais sans surprises du roman de Helen Fielding. Mélange agréable de sentimentalité et de loufoquerie. Réalisation alerte. Jeu sympathique de R. Zellweger.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
4

Le Journal de Bridget Jones (Bridget Jones's Diary)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2001. Comédie sentimentale de Sharon Maguire avec Renée Zellweger, Colin Firth, Hugh Grant.

Les tribulations sentimentales et professionnelles d'une jeune Londonienne qui a le don de se mettre dans l'embarras. Adaptation charmante mais sans surprises du roman de Helen Fielding. Mélange agréable de sentimentalité et de loufoquerie. Réalisation alerte. Jeu sympathique de R. Zellweger.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Célibataire dans la trentaine, la Londonienne Bridget Jones cherche à perdre du poids, tout en renonçant au tabac et à l'alcool. De bonnes résolutions pour marquer le début de sa nouvelle vie, qu'elle espère pleine de romance. Les choses s'annoncent plutôt bien, car son séduisant patron, l'éditeur Daniel Cleaver, lui fait enfin la cour. De nuits intimes en week-ends d'amoureux, Bridget exulte. Réveil brutal: Daniel est déjà fiancé avec une Américaine. Dépitée, Bridget démissionne et entreprend une carrière de journaliste à la télévision, bien qu'elle soit une oratrice inepte. Heureusement, la jeune femme obtient un scoop formidable grâce à l'aide de l'avocat Mark Darcy, un voisin d'enfance avec qui elle entretient une relation tendue placée sous le signe du sarcasme.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Adapté d'un roman anglais qui a connu un immense succès dans son pays d'origine, en particulier auprès des femmes, BRIDGET JONES'S DIARY était attendu avec appréhension par les cinéphiles britanniques, qui voyaient d'un mauvais oeil le choix d'une actrice américaine pour incarner l'héroïne. Or, en voyant le résultat, on peut douter de la pertinence de cette controverse. D'une part parce que Renée Zellweger est, de loin, la meilleure chose dans le film. Et, d'autre part, parce qu'on se demande bien ce qu'il peut y avoir dans cette bluette qui puisse soulever les passions. À quelques détails près, le récit de BRIDGET JONES'S DIARY se plie scrupuleusement aux recettes les plus éprouvées de la comédie sentimentale hollywoodienne. Il s'agit d'un conte de fées plein de charme et de gentillesse, mais sans mordant et sans surprises, avec en son centre une héroïne dont la candeur trop calculée frise parfois l'idiotie. Heureusement, avec son don de sympathie inépuisable, Zellweger parvient malgré tout à nous faire aimer le personnage. Pour sa part, la réalisatrice s'efforce avec un certain succès d'injecter du rythme et de la bonne humeur à cette enfilade d'anecdotes où la sentimentalité se mêle agréablement à la loufoquerie.

Texte : Martin Girard

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3