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Prospero's Books

G.-B. 1991. Drame poétique de Peter Greenaway avec John Gielgud, Isabelle Pasco, Michael Clark. Ayant été victime d'un complot, un vieux duc imagine une grande tempête faisant échouer sur son île ceux qui l'ont obligé à s'exiler. Adaptation touffue d'une pièce de Shakespeare. Traitement visuel et sonore à la fois somptueux et avant-gardiste. Narration assurée quoiqu'agaçante à la longue de J. Gielgud.

13 ans +
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Prospero's Books (Prospero's Books)

13 ans + 13 ans +

G.-B. 1991. Drame poétique de Peter Greenaway avec John Gielgud, Isabelle Pasco, Michael Clark.

Ayant été victime d'un complot, un vieux duc imagine une grande tempête faisant échouer sur son île ceux qui l'ont obligé à s'exiler. Adaptation touffue d'une pièce de Shakespeare. Traitement visuel et sonore à la fois somptueux et avant-gardiste. Narration assurée quoiqu'agaçante à la longue de J. Gielgud.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Cineplex-Odeon
Victime d'un complot qui l'a dépossédé de son duché, Prospero vit avec sa fille Miranda sur une île peuplée d'esprits magiques. Là, il emploie son temps à consulter ses livres et à préparer des vengeances chimériques. C'est ainsi que Prospero imagine une grande tempête faisant échouer sur son î1e ceux qui l'ont obligé à s'exiler. Son pouvoir d'invocation est tel que les acteurs de sa fantaisie finissent par se matérialiser. Prospero les manipule jusqu'à ce que son serviteur Ariel lui fasse comprendre la folie de son obsession. Le vieil homme pardonne alors à ses bourreaux. Son geste met fin à son exil et il assiste à l'union miraculeuse de sa fille avec le prince Ferdinand.

L’AVIS DE MEDIAFILM

C'est avec l'accord de John Gielgud que Peter Greenaway a adapté "La Tempête" de Shakespeare comme s'il s'agissait d'un traité sur le théâtre et l'art de la représentation. Il en résulte un film touffu où les idées s'enchevêtrent jusqu'à former un barrage de signes déconcertants. Le traitement visuel et sonore est à la fois somptueux et avant-gardiste. Même si elle démontre bien le pouvoir manichéen de Prospero et met en relief les rouages du langage shakespearien, la narration continuelle de John Gielgud finit par agacer. Celui-ci toutefois ne manque pas d'assurance. Le reste de l'interprétation s'avère plus figé.

Texte : Johanne Larue

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