Le Prête-nom (The Front)

Name: Prête-nom, Le
Director: Martin Ritt
Genre: Comédie satirique
Duration: 95 min.

É.-U. 1976. Comédie satirique de Martin Ritt avec Woody Allen, Zero Mostel, Andrea Marcovicci. Un homme connaît des ennuis après avoir accepté de prêter son nom à un ami écrivain boycotté par la télévision. Intrigue évoquant les enquêtes du sénateur McCarthy. Habile exploitation des aspects absurdes des situations. Côtés dramatiques bien rendus. Composition réussie de W. Allen.

Le Prête-nom (The Front)

Général

É.-U. 1976. Comédie satirique de Martin Ritt avec Woody Allen, Zero Mostel, Andrea Marcovicci.

Un homme connaît des ennuis après avoir accepté de prêter son nom à un ami écrivain boycotté par la télévision. Intrigue évoquant les enquêtes du sénateur McCarthy. Habile exploitation des aspects absurdes des situations. Côtés dramatiques bien rendus. Composition réussie de W. Allen.

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Genre :

Comédie satirique

Année :

1976

Durée :

95 min.

Réalisation :

Martin Ritt

Photographie :

Michael Chapman

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Woody Allen
Zero Mostel
Andrea Marcovicci

À l'époque des enquêtes dirigées par le sénateur Joseph McCarthy, l'écrivain Alfred Miller, boycotté par la télévision, fait appel à un ancien camarade d'école, Howard Prince, pour qu'il lui serve de prête-nom. Devenu du jour au lendemain un auteur à la mode, Howard profite de l'imposture pour gagner le coeur d'une script-assistante. Divers incidents l'amènent pourtant à réfléchir à la situation et lorsqu'il est lui-même convoqué par la commission d'enquête, il refuse de répondre et est emprisonné pour mépris de cour.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les enquêtes du sénateur McCarthy et l'ostracisme qui en est résulté dans les milieux du spectacle ne semblent pas à première vue le sujet idéal pour une comédie. Les auteurs, eux-mêmes victimes de boycottage à l'époque, ont pourtant réussi à en faire ressortir les côtés absurdes sans oublier l'aspect dramatique de la situation. La volonté de démonstration transparaît par moments, mais le film réussit à faire passer en douceur ses visées satiriques. Woody Allen s'acquitte avec honneur d'un rôle en dehors de son emploi habituel.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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