Ilsa, gardienne du harem des rois du pétrole (Ilsa, Harem Keeper of the Oil Sheiks)

Name: Ilsa, gardienne du harem des rois du pétrole
Director: Don Edmonds
Genre: Mélodrame
Duration: 93 min.

É.-U. 1975. Mélodrame de Don Edmonds avec Dyanne Thorne, Michael Thayer, Sharon Kelly. Une jeune femme cruelle régit le harem du souverain d'une principauté arabe riche en terrains pétrolifères. Récit simpliste et primaire prétexte à des scènes érotiques. Réalisation technique acceptable. Mise en scène factice. Interprétation forcée.

Ilsa, gardienne du harem des rois du pétrole (Ilsa, Harem Keeper of the Oil Sheiks)

18 ans + (violence, érotisme)

É.-U. 1975. Mélodrame de Don Edmonds avec Dyanne Thorne, Michael Thayer, Sharon Kelly.

Une jeune femme cruelle régit le harem du souverain d'une principauté arabe riche en terrains pétrolifères. Récit simpliste et primaire prétexte à des scènes érotiques. Réalisation technique acceptable. Mise en scène factice. Interprétation forcée.

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Genre :

Mélodrame

Année :

1975

Durée :

93 min.

Réalisation :

Don Edmonds

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Machiavel DVD

Interprètes :

Dyanne Thorne
Michael Thayer
Sharon Kelly

Une jeune femme cruelle, Ilsa, régit le harem du cheik d'une petite principauté arabe riche en terrains pétrolifères et ne recule devant aucune bassesse pour satisfaire les désirs de son maître. À l'occasion de la visite d'un homme d'État américain, un officier de marine devient l'amant d'Ilsa. Lorsqu'elle refuse de tuer l'Américain dont elle s'est éprise, Ilsa tombe en défaveur et ne réussit à survivre qu'en organisant une rébellion contre le cheik. Le successeur de celui-ci se montre cependant sans pitié pour cette harpie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

On croyait Ilsa bien morte à la fin de ses exploits précédents, mais la voilà qui reparaît dans un autre film médiocre encore centré sur un catalogue d'atrocités. Si la réalisation technique semble s'être quelque peu améliorée, le scénario est resté à un niveau déplorable d'inspiration. Les personnages ne sont que des pantins grotesques et l'intrigue se résume à une suite de scènes d'une outrance simpliste. La mise en scène et l'interprétation, sont aussi factices l'une que l'autre.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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