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Le Blob (The Blob)

É.-U. 1988. Drame d'horreur de Chuck Russell avec Kevin Dillon, Shawnee Smith, Joe Seneca. Une matière verte et visqueuse, surgie d'un météorite, s'attaque aux habitants d'une petite ville américaine. Remake d'un fil mineur des années 1950. Multiplication d'effets-chocs. Réalisation valable. Développements artificiels. Interprétation honnête et dans le ton voulu.

13 ans + (horreur)
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Le Blob (The Blob)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 1988. Drame d'horreur de Chuck Russell avec Kevin Dillon, Shawnee Smith, Joe Seneca.

Une matière verte et visqueuse, surgie d'un météorite, s'attaque aux habitants d'une petite ville américaine. Remake d'un fil mineur des années 1950. Multiplication d'effets-chocs. Réalisation valable. Développements artificiels. Interprétation honnête et dans le ton voulu.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Chuck Russell
Frank Darabont
D'après l'oeuvre de Theodore Simonson
D'après l'oeuvre de Kay Linaker
Photographie :
Musique :
Dans une petite ville américaine, un vagabond découvre une météorite qui vient de s'écraser dans la forêt. Une matière verte et visqueuse surgit de l'objet et s'agrippe à son bras. Transporté à l'hôpital par un jeune couple d'étudiants, le malheureux ne tarde pas à être digéré par l'étrange substance qui s'attaque ensuite aux adolescents. La jeune fille, Meg, arrive pourtant à s'échapper. La gélatine mortelle commence à faire des ravages dans la ville et l'armée américaine ne tarde pas à intervenir. Meg, accompagnée maintenant d'un copain belliqueux et rebelle, Brian, trouve l'arme idéale pour tuer la chose: le froid.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce remake d'un film mineur de science-fiction des années 1950 (dont le seul intérêt résidait dans la première apparition de Steve McQueen à l'écran) ne renouvelle guère le thème de l'original que par la sophistication des trucages entourant le «blob» et par la multiplication d'effets-chocs illustrant des morts violentes. Le réalisateur Chuck Russell réussit toutefois à bien mener son récit sans pour autant se dégager de l'artificialité de son développement. L'interprétation, à défaut d'être inspirée, demeure honnête et dans le ton voulu.

Texte : André Caron

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