Juice

Name: Juice
Director: Ernest Dickerson
Genre: Drame social
Duration: 94 min.

É.-U. 1992. Drame social de Ernest Dickerson avec Omar Epps, Khalil Kain, Jermaine Hopkins. Un adolescent de Harlem participe avec des copains à un hold-up qui a des conséquences tragiques. Scénario rigoureux. Suite de scènes concises et alertement menées. Vision critique de la violence. Réalisation assurée. Interprètes bien dirigés.

Juice (Juice)

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É.-U. 1992. Drame social de Ernest Dickerson avec Omar Epps, Khalil Kain, Jermaine Hopkins.

Un adolescent de Harlem participe avec des copains à un hold-up qui a des conséquences tragiques. Scénario rigoureux. Suite de scènes concises et alertement menées. Vision critique de la violence. Réalisation assurée. Interprètes bien dirigés.

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Genre :

Drame social

Année :

1992

Durée :

94 min.

Réalisation :

Ernest Dickerson

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Omar Epps
Khalil Kain
Jermaine Hopkins
Tupac Shakur

Un adolescent de Harlem, Quincy, parvient à se qualifier pour l'épreuve finale d'un concours destiné à élire le meilleur dise-jockey en ville. Le même jour, trois bons copains, Bishop, Raheem et Steel, lui demandent de participer avec eux à un hold-up. D'abord très réticent, il finit par accepter. Mais l'affaire tourne mai: leur victime, un épicier, est abattu par Bishop dans un moment de panique. Une altercation s'ensuit durant laquelle Bishop tue Raheem. Les deux autres s'enfuient et gardent le silence lorsque la police les interroge. Mais ils sont bientôt harcelés par Bishop qui craint d'être dénoncé.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Directeur photo attitré de Spike Lee, Ernest R. Dickerson signe son premier film comme réalisateur. Il s'agit d'une production qui s'inscrit dans la foulée des oeuvres sociales à tendance critique de Lee. Le scénario, d'une rigueur exemplaire, s'attache à présenter les personnages et le contexte où ils vivent dans une suite de scènes concises et alertement menées. L'auteur évite habilement de rendre séduisante ou excitante la violence qu'il dépeint, mettant plutôt l'accent sur la souffrance qu'elle engendre. La réalisation est pleine d'assurance et les jeunes interprètes sont très bien dirigés.

Texte : Martin Girard

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