Lisztomania

Name: Lisztomania
Director: Ken Russell
Genre: Comédie musicale
Duration: 106 min.

G.-B. 1975. Comédie musicale de Ken Russell avec Roger Daltrey, Sarah Kestelman, Paul Nicholas. Après plusieurs démêlés sentimentaux, le compositeur Franz Liszt rentre dans les ordres et reçoit la mission de combattre l'influence de Richard Wagner. Déferlement pop au mélange de mauvais goût et de kitsch. Mise en images tape-à-l'oeil. Interprétation quelque peu factice.

Lisztomania (Lisztomania)

13 ans +

G.-B. 1975. Comédie musicale de Ken Russell avec Roger Daltrey, Sarah Kestelman, Paul Nicholas.

Après plusieurs démêlés sentimentaux, le compositeur Franz Liszt rentre dans les ordres et reçoit la mission de combattre l'influence de Richard Wagner. Déferlement pop au mélange de mauvais goût et de kitsch. Mise en images tape-à-l'oeil. Interprétation quelque peu factice.

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Genre :

Comédie musicale

Année :

1975

Durée :

106 min.

Réalisation :

Ken Russell

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Warner Bros.

Interprètes :

Roger Daltrey
Sarah Kestelman
Paul Nicholas

Le pianiste-compositeur Franz Liszt, idole des adolescentes, abandonne sa maîtresse Marie d'Agoult, dont il a eu trois enfants, pour une princesse russe. Celle-ci entraîne Liszt à Rome où elle espère obtenir l'annulation de son mariage, mais elle échoue et le musicien entre dans les ordres. Plus tard, le pape confie à Liszt la mission de combattre l'influence maléfique de Richard Wagner dont la musique risque d'exacerber le nationalisme allemand.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après Tchaïkovski et Mahler, c'est au tour de Franz Liszt de subir le traitement Ken Russell et il en souffre encore plus que ses prédécesseurs. Non seulement les étapes de sa vie servent de prétexte à des dévergondages imaginatifs, mais sa musique elle-même est déformée et traitée dans le style rock. Le grotesque fait bon ménage avec un mauvais goût affiché dans la mise en images des phantasmes débridés du réalisateur. Voilà bien du talent et de l'imagination gaspillés pour illustrer un délire obsessionnel. La fausseté de la conception d'ensemble est encore soulignée par une interprétation factice.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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