Remarquable

Simple Mortel

Name: Simple Mortel
Director: Pierre Jolivet
Genre: Drame fantastique
Duration: 85 min.

Samedi 11 Mai à 20:00 | StudioCanal TV

Fr. 1991. Drame fantastique de Pierre Jolivet avec Philippe Volter, Christophe Bourseiller, Nathalie Roussel. Un spécialiste en langues mortes est choisi par une forme d'intelligence inconnue pour exécuter des missions mystérieuses. Récit énigmatique d'un intérêt peu soutenu. Un certain climat de tension. Mise en scène solide. Interprétation plus ou moins convaincante.

Simple Mortel (Simple Mortel)

13 ans +

Fr. 1991. Drame fantastique de Pierre Jolivet avec Philippe Volter, Christophe Bourseiller, Nathalie Roussel.

Un spécialiste en langues mortes est choisi par une forme d'intelligence inconnue pour exécuter des missions mystérieuses. Récit énigmatique d'un intérêt peu soutenu. Un certain climat de tension. Mise en scène solide. Interprétation plus ou moins convaincante.

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Genre :

Drame fantastique

Année :

1991

Durée :

85 min.

Réalisation :

Pierre Jolivet

Scénario :

Pierre Jolivet

Photographie :

Bertrand Chatry

Musique :

Serge Perathoner
Jannick Top

Montage :

Jean-François Naudon

Pays :

France

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Philippe Volter
Christophe Bourseiller
Nathalie Roussel
Maaike Jansen
Roland Giraud
Marcel Maréchal
Arlette Thomas
Michel Lengliney
Denise Guillard
Daniel Schropfer
Jean-Pierre Vincent

Spécialiste en langues mortes, Stéphane reçoit d'étranges messages radiophoniques dans lesquels un inconnu l'interpelle en utilisant un dialecte celtique très ancien. Le jeune homme se croit d'abord victime d'un canular, mais divers incidents troublants finissent par le convaincre qu'il a été choisi par une intelligence inconnue pour exécuter des missions mystérieuses. Un premier refus de sa part ayant entraîné une catastrophe, Stéphane décide d'obéir à la lettre aux ordres qu'on lui donne, même si ses actes entraînent la mort d'un homme et menacent les gens de son entourage.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La première partie de ce récit énigmatique captive l'attention du spectateur par la façon dont l'auteur introduit les éléments fantastiques dans la vie du protagoniste. Par la suite, un certain nombre d'idées intrigantes accrochent l'intérêt, mais une quantité égale de détails inconséquents ou confus gâchent le tout. À l'image du héros, on finit par avoir l'impression de se faire manipuler d'une manière un peu trop complaisante. Signant une mise en scène assez solide, le réalisateur réussit parfois à créer le climat de tension souhaité. L'interprétation ne convainc pas toujours.

Texte : Martin Girard

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