É.-U. 2018. Science-fiction de Ron Howard avec Alden Ehrenreich, Emilia Clarke, Joonas Suotamo. Un aspirant pilote prend part à un gros coup, dans le but de s'acheter un vaisseau avec lequel il compte aller rechercher sa bien-aimée sur leur planète natale. Récit passe-partout de la jeunesse d'un attachant héros de la saga "Star Wars". Production de série aux dialogues pauvres. Dénouement plutôt habile. Réalisation compétente mais sans âme. Interprètes enthousiastes. (sortie en salle: 25 mai 2018)
Un aspirant pilote prend part à un gros coup, dans le but de s'acheter un vaisseau avec lequel il compte aller rechercher sa bien-aimée sur leur planète natale. Récit passe-partout de la jeunesse d'un attachant héros de la saga "Star Wars". Production de série aux dialogues pauvres. Dénouement plutôt habile. Réalisation compétente mais sans âme. Interprètes enthousiastes. (sortie en salle: 25 mai 2018)
Avec ce récit paresseux de la jeunesse d'un des héros les plus attachants de la saga "Star Wars", immortalisé par Harrison Ford, Disney continue de traire la vache à lait achetée au créateur George Lucas. Comment Han est devenu Han Solo? La réponse est ridicule! Sa rencontre avec Chewbacca? Elle semble calquée sur une scène de THOR RAGNAROK. Seul l'affrontement de Han avec Lando Carlissian, premier propriétaire du convoité Faucon Millenium, arrache quelques sourires. En fait, ce n'est qu'au dénouement, plutôt habile, que se profile enfin une intrigue digne de ce nom. Certes, l'ensemble est spectaculaire et techniquement compétent, mais désespérément anonyme, Ron Howard, appelé à la barre en cours de tournage, n'ayant pas su imprimer sa marque sur cette production de série. En livrant d'entrée de jeu toutes les clés de son personnage non conformiste, séducteur et fanfaron, Alden Ehrenreich (RULES DON'T APPLY) lui retire du même souffle tout son potentiel d'évolution et d'enrichissement psychologique. À tout le moins, il le campe avec énergie et enthousiasme. (Texte rédigé en mai 2018, dans le cadre du Festival de Cannes - Hors compétition)
Texte : Louis-Paul Rioux
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Ton amusée et juvénile au style de vieilles BD de série B. Mélange léger de western, de film de cambriolage et de gangstérisme. Intrigue pas toujours passionnante mais traversée de quelques bons flashs. Réalisation possédant un certain charme et techniquement adéquate. Interprètes enjoués.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
je voulais dire «...que George Lucas affectionnant tant dans sa jeunesse», mais probablement que Ron Howard aimait aussi :)
J'attribue à ce film la Cote
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Un plaisir coupable. SOLO ne se prend pas très au sérieux, un peu à l'image du «gentil vaurien», joué convenablement par Ehrenreich, sans pour autant faire oublier le vrai Han Solo d'Harrison Ford. Emilia Clarke a un charisme indéniable, même si elle n'a pas la qualité des textes de GAME OF THRONES. Et Donald Glover est parfait en composant avec aisance un Lando d'une élégance maniérée. Pas toujours passionnante, l'intrigue de SOLO contient quelques bons flashs et des scènes d'action trippantes. Le résultat est moins emmerdant que THE PHANTOM MENACE, moins solide que ROGUE ONE et plus spectaculaire que THE FORCE AWAKENS. Avec son ton de série B, le film de Ron Howard se donne des allures de BD de science-fiction qu'il affectionnait tant dans sa jeunesse. J'aurais été curieux de voir le résultat avec à la barre Phil Lord et Christopher Miller, des cinéastes moins consensuels que Ron Howard. Au moins, le réalisateur de RUSH a fait un boulot satisfaisant dans les circonstances.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
Les personnages sont attachants mais l'histoire est plate, et la réalisation fait pitié, c'est quand même un bon film
J'attribue à ce film la Cote