Desolation Center

Name: Desolation Center
Director: Stuart Swezey
Genre: Documentaire
Released: 2019-08-28 16:52:23
Duration: 94 min.

É.-U. 2018. Documentaire de Stuart Swezey . L'histoire méconnue d'une série d'événements punk-rock qui, dans les années 1980, ont pavé la voie aux festivals Burning Man, Lollapalooza et Coachella. Captation de l'esprit d'une époque. Nombreux témoignages éclairants et archives inédites. Approche formatée privilégiant l'anecdote. (sortie en salle: 4 octobre 2019)

Desolation Center (Desolation Center)

Général

É.-U. 2018. Documentaire de Stuart Swezey .

L'histoire méconnue d'une série d'événements punk-rock qui, dans les années 1980, ont pavé la voie aux festivals Burning Man, Lollapalooza et Coachella. Captation de l'esprit d'une époque. Nombreux témoignages éclairants et archives inédites. Approche formatée privilégiant l'anecdote. (sortie en salle: 4 octobre 2019)

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Genre :

Documentaire

Année :

2018

Durée :

94 min.

Réalisation :

Stuart Swezey

Photographie :

Chris Caliman
Jeremy Royce
Sandra Valde-Hansen

Montage :

Tyler Hubby

Pays :

États-Unis

Distributeur :

EyeSteelFilm

Les festivals à succès Burning Man, Lollapalooza et Coachella ont un ancêtre méconnu. Il s'agit d'un événement éphémère datant des années 1980, qui combinait musique punk-rock et industrielle, performances et démonstrations pyrotechniques. Instigateur et principal organisateur de ce happening campé au beau milieu du désert de Mojave, en Californie, le réalisateur Stuart Swezey exhume les archives et va à la rencontre de divers participants.

L’AVIS DE MEDIAFILM

DESOLATION CENTER nous fait découvrir une facette méconnue des années 1980. Les amateurs de contre-culture et d'histoire de la musique auront en effet le plaisir d'y retrouver des groupes comme Sonic Youth, Minutemen, Meat Puppets, Swans ou Einstürzende Neubauten, sous un éclairage inédit. Les expériences pyrotechniques et les constructions de machines futuristes dans le désert réservent aussi leur lot de surprises. On regrette toutefois que le film repose un peu trop sur la nostalgie et le recours aux anecdotes. De fait, l'amer constat final, sur la filiation de cet événement innovateur et courageux avec les festivals d'aujourd'hui, plus lisses et commerciaux, est rapidement expédié. La façon dont le film prend le pouls d'une époque sans compromis (et pourtant pleine d'idéaux) demeure néanmoins captivante.

Texte : Apolline Caron-Ottavi

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