Remarquable

20-22 Omega

Name: 20-22 Omega
Director: Thierry Loa
Genre: Documentaire
Released: 2019-01-24 09:58:49
Duration: 112 min.

Can. 2018. Documentaire de Thierry Loa . Méditation visuelle, musicale et non verbale sur l'évolution de la vie sur Terre, alors qu'émerge une ère nouvelle nommée l'Anthropocène, ou l'âge des Nouveaux Humains. Recherche formelle audacieuse sur un assemblage de thèmes parfois obscurs. Réalisation envoûtante, mariant imagerie forte et musique obsédante. Montage efficace, un brin complaisant. (sortie en salle: 8 février 2019)

20-22 Omega (20-22 Omega)

Général

Can. 2018. Documentaire de Thierry Loa .

Méditation visuelle, musicale et non verbale sur l'évolution de la vie sur Terre, alors qu'émerge une ère nouvelle nommée l'Anthropocène, ou l'âge des Nouveaux Humains. Recherche formelle audacieuse sur un assemblage de thèmes parfois obscurs. Réalisation envoûtante, mariant imagerie forte et musique obsédante. Montage efficace, un brin complaisant. (sortie en salle: 8 février 2019)

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Genre :

Documentaire

Année :

2018

Durée :

112 min.

Réalisation :

Thierry Loa

Scénario :

Thierry Loa

Photographie :

Thierry Loa

Musique :

Ida Toninato
Guillaume Martineau
Philippe Le Bon

Montage :

Ray Shine

Pays :

Canada

Distributeur :

Les Films du 3 Mars

Méditation visuelle, musicale et non verbale sur l'évolution de la vie sur Terre, de l'aube de l'humanité jusqu'à aujourd'hui. Et ce, alors qu'émerge une ère nouvelle: l'Anthropocène ou l'âge des Nouveaux Humains.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Projet hors norme, tourné de façon artisanale sur une période de cinq ans, ce film expérimental audacieux est fondé sur l'exploration esthétique abstraite d'un assemblage de thèmes parfois obscurs. Se réclamant à la fois du cinéma d'avant-garde des années 1920 (L'HOMME À LA CAMÉRA, BERLIN SYMPHONIE D'UNE GRANDE VILLE) et du travail de Godfrey Reggio (KOYAANIQATSI), l'artiste intermédia Thierry Loa signe un film plus convaincant dans ses expérimentations formelles (qui rappellent la manière de Stan Brakhage et Jordan Belson) que dans son versant documentaire, plus traditionnel. Si la mise en scène envoûte, par son mariage d'une imagerie forte et d'une musique obsédante, le montage, un brin complaisant, rend l'ensemble tantôt fascinant et brillant, tantôt lassant.

Texte : Georges Privet

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