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Le Portrait final (Final Portrait)

G
2017 · Final Portrait (ang)
100% est d'accord avec la cote
De passage à Paris en 1964, l'écrivain américain James Lord accepte de poser pour Arturo Giacometti, pour ensuite le regretter, le peintre caractériel éternisant les séances.
Épisode biographique exaspérant, peuplé de personnages mal définis. Abondance de clichés et de lieux communs. Traitement pittoresque. Acteurs de calibre mal exploités.

L'avis de Mediafilm

Arturo Giacometti était un personnage exaspérant. Stanley Tucci (BIG NIGHT, JOE GOULD'S SECRET) a créé un film à son image. Sans nous épargner un seul lieu commun sur le syndrome de l'artiste impossible à vivre, mais toléré par son entourage pour son génie. Au-delà de cette équivoque à défendre, Geoffrey Rush a bien peu de choses à se mettre sous la dent. Car l'art et la pensée du peintre et sculpteur ne sont guère mis en valeur. Le charisme de l'acteur compense comme il peut. Inversement, Armie Hammer s'investit à fond dans un rôle d'écrivain un brin dandy, mais tellement mal défini qu'on n'arrivera jamais à comprendre pourquoi il a toléré l'épreuve aussi longtemps, ni ce que Giacometti lui trouvait de si spécial. Bref, le film manque de communiquer l'essentiel et déploie, chemin faisant, un chapelet de clichés montmartrois croqués dans ce qui ressemble beaucoup trop à un décor de scène, avec épouse bipolaire et putain joyeuse pour compléter le tableau. (Texte rédigé en février 2017, dans le cadre du Festival de Berlin).

Synopsis

De passage à Paris en 1964, l'écrivain américain James Lord accepte de poser pour Arturo Giacometti. Une session de trois ou quatre heures devrait suffire, lui annonce le peintre suisse-italien. Mais après un premier après-midi dans l'atelier désordonné, Giacometti, insatisfait du portrait, demande à son sujet de revenir le lendemain. Puis le jour suivant, et ainsi de suite, si bien que l'écrivain doit continuellement repousser son vol de retour pour New York. Au fil des sessions, ce dernier est témoin de scènes de la vie quotidienne de l'artiste caractériel, qui jongle avec épouse et maîtresse, au vu et au su de chacune. Avec Diego, le frère du peintre, Lord développe une amitié complice, qui pourrait être la clé de sa libération. (sortie en salle le 20 avril 2018)

Année

2017

Genre

Comédie dramatique

Durée

90 min.

Origine

France
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Bande-annonce (FR)

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Extrait (FR)

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Extrait (FR)

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Extrait (FR)

FinalPortrait_StanleyTucci_5.jpg

Bande-annonce (EN)

Information

Classification

G

Genre

Comédie dramatique

Année

2017

Durée

90 min.

Réalisation

Scénario

Photographie

Musique

Pays

France

Grande-Bretagne

Distribution

Métropole Films Distribution

Images

FinalPortrait_StanleyTucci_5.jpgFinalPortrait_ClemencePoesy_GeoffreyRush_4.jpgFinalPortrait_GeoffreyRush_3.jpgFinalPortrait_GeoffreyRush_ArmieHammer_2.jpgFinalPortrait_ArmieHammer_GeoffreyRush_1.jpgFinalPortrait_6.jpgFinalPortrait_5.jpgFinalPortrait_4.jpgFinalPortrait_3.jpgFinalPortrait_2.jpgFinalPortrait_1.jpg