Antoine Duplan - Le Temps
Sur [une] trame minimaliste, Lelouch brode des péripéties sentimentales de kiosque de gare au gré de repas champêtres. (...) Johnny et le Grand Schmoll se font une dernière Dernière séance. Ils regardent RIO BRAVO et chantent avec Dean Martin. (...) Cette scène garantie pur culte, genre souviens-toi Johnny et Salut les copains, tombe à plat.
Marie-Noëlle Tranchant - Le Figaro
Le sujet n'est pas plus mauvais qu'un autre, et Lelouch y met la sincérité d'une confession. Seulement il le surcharge de rebondissements abracadabrants. (...) Et les personnages des filles restent des clichés sans consistance, aux destins artificiels. À l'écriture, Lelouch nous cuisine du navet à la guimauve.
Marie-Elisabeth Rouchy - Le Nouvel Observateur
Au-delà de la permanence des thèmes chers au réalisateur - la vie, l’amour, la mort, les hommes, les femmes et les enfants - et des mouvements de caméra qu’il affectionne, c’est le duo Hallyday-Mitchell qui intéresse Lelouch. Il fonctionne.
Frédéric Strauss - Télérama
Dommage [que] le duo Johnny Hallyday-Sandrine Bonnaire [ne soit] pas (...) mis au centre du film alors qu'il fonctionne très bien. Lui, tragique, gueule cassée, impressionnant. Elle, capable d'une légèreté empreinte de mélancolie. Sur ce plan-là, l'instinct de Lelouch ne faillit pas: il sait toujours inventer des couples de cinéma.