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MacGruber

É.-U. 2010. Comédie de Jorma Taccone avec Will Forte, Kristen Wiig, Val Kilmer. Un ex-agent des services secrets américains reprend du service après que son ennemi juré se fut emparé d'un missile nucléaire. Satire tonique et irrévérencieuse. Scénario mince au ton burlesque bien soutenu. Réalisation multipliant les clins d'oeil. Interprétation savoureuse. (sortie en salle: 21 mai 2010)

13 ans + (violence, langage vulgaire)
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MacGruber (MacGruber)

13 ans + (violence, langage vulgaire) 13 ans + (violence, langage vulgaire)

É.-U. 2010. Comédie de Jorma Taccone avec Will Forte, Kristen Wiig, Val Kilmer.

Un ex-agent des services secrets américains reprend du service après que son ennemi juré se fut emparé d'un missile nucléaire. Satire tonique et irrévérencieuse. Scénario mince au ton burlesque bien soutenu. Réalisation multipliant les clins d'oeil. Interprétation savoureuse. (sortie en salle: 21 mai 2010)

Genre :
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Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
MacGruber, un redoutable agent des services secrets américains, s'est exilé en Amérique du Sud après qu'un attentat perpétré lors de son mariage eut coûté la vie à sa fiancée. Malgré sa promesse d'adopter une conduite pacifique, MacGruber accepte de reprendre du service quand son ancien supérieur l'informe que son ennemi juré, Dieter Von Cunth, celui-là même qui a causé la mort de sa bien-aimée, s'est emparé d'un missile nucléaire. Contraint de faire équipe avec le lieutenant Piper, un jeune officier qui désapprouve ses méthodes peu orthodoxes, MacGruber s'assure également la collaboration de Vicki St. Elmo, une ancienne coéquipière secrètement amoureuse de lui. Le trio dépareillé suit donc la trace de Von Cunth, Piper et St. Elmo passant le plus clair de leur temps à rattraper les bourdes de MacGruber.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Populaire personnage à l'émission Saturday Night Live, MacGruber passe la rampe du cinéma avec succès. Le scénario tonique et irrévérencieux, certes mince côté intrigue, est avant tout prétexte à une enfilade de gags souvent fort drôles satirisant une certaine culture américaine faite de patriotisme exacerbé, de racisme et d'homophobie. Maintenu de bout en bout, le ton résolument burlesque de l'affaire fonctionne plutôt bien. La réalisation multiplie quant à elle les clins d'oeil et met de l'avant une esthétique «années 80», époque à laquelle cet inepte ersatz ringard de MacGuyver, mais aussi de Stallone et Schwarzenegger, est demeuré scotché. L'interprétation d'ensemble est des plus savoureuses.

Texte : François Lévesque

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