Révélé l’an dernier à Cannes (...), LES TOILETTES DU PAPE ne fait ni dans le conte, ni dans le drame. S’il jette un regard dur, parce que lucide, sur le destin des villageois, le film met en scène des personnages qui n’ont rien de triste ou de misérable, glaneurs et glaneuses d’un temps aujourd’hui révolu.

• http://moncinema.cyberpresse.ca

Pour conter leur petite fable néoréaliste assez croquignolette, les réalisateurs ont mêlé acteurs professionnels (...) et habitants du lieu. (...) La dureté des vies est très bien rendue, comme la scélératesse des exploiteurs du petit monde qui transgresse les frontières.

• http://www.liberation.fr

César Charlone et Enrique Fernândez ont bricolé une comédie sans doute moins burlesque que ne le promet l'énoncé du menu, mais dont l'attention aux gens et aux gestes, l'humanité, les grandes qualités de réalisation et d'interprétation forcent l'empathie.

• http://artsetspectacles.nouvelobs.com

Rigueur de la démarche, justesse de la satire et tendresse pour les personnages, rares sont les films qui, sur le mode de la comédie, savent sans emphase tenir cet équilibre.

• http://www.humanite.fr

Inspirée de faits réels, cette coréalisation (...) se révèle à la fois une fascinante et cruelle étude de milieu, où la noblesse de l'âme croise avec humour la bassesse du corps, et une oeuvre inaboutie qui cherche son style (...). En résulte un film qui séduit autant qu'il ennuie.

• http://www.voir.ca