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Code: Broken Arrow (Broken Arrow)

É.-U. 1996. Aventures de John Woo avec John Travolta, Christian Slater, Samantha Mathis. Un pilote de l'armée de l'air américaine s'empare de deux missiles nucléaires pour les vendre à un groupe terroriste. Scénario schématique et invraisemblable prétexte à une série de morceaux de bravoure époustouflants. Rythme trépidant. Jeu forcé mais fascinant de J. Travolta.

13 ans + (violence)
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Code: Broken Arrow (Broken Arrow)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1996. Aventures de John Woo avec John Travolta, Christian Slater, Samantha Mathis.

Un pilote de l'armée de l'air américaine s'empare de deux missiles nucléaires pour les vendre à un groupe terroriste. Scénario schématique et invraisemblable prétexte à une série de morceaux de bravoure époustouflants. Rythme trépidant. Jeu forcé mais fascinant de J. Travolta.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
20th Century Fox
Au cours d'une mission de routine à bord d'un bombardier, le pilote américain Vic Deakins s'empare des deux missiles nucléaires qu'il transporte, tout en essayant d'éliminer son co-pilote, Riley Hale. Plus coriace que prévu, ce dernier se lance aux trousses de Deakins, aidé par un agent de police. Le traître menace alors de faire sauter les engins si le gouvernement refuse de payer la rançon demandée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Spécialiste des fusillades chorégraphiées à Hong Kong, John Woo en est à son deuxième film américain. Il profite ici d'un solide budget, du scénariste de SPEED et de vedettes réputées. Il peut donc à son aise construire des morceaux de bravoure plus époustouflants les uns que les autres, prenant même un malin plaisir à détruire tous les moyens de transport utilisés dans le film. Il s'agit donc d'une enfilade réjouissante de scènes d'action, qui sacrifie cependant au passage la vraisemblance et la crédibilité de l'intrigue. Schématique à souhait, le scénario ne procure qu'une trame de fond à l'action et façonne des personnages dessinés à gros traits. De toute évidence, les auteurs s'amusent avec les conventions du genre en les poussant vers la démesure. Le jeu forcé des interprètes s'accorde à cet esprit, surtout celui de John Travolta, fascinant à regarder.

Texte : André Caron

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