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The Jerky Boys

É.-U. 1994. Comédie policière de James Melkonian avec John G. Brennan, Kamal Ahmed, Alan Arkin. Deux mauvais plaisantins se font passer pour des gangsters auprès d'un caïd de la pègre new-yorkaise. Pochade menée à la va-comme-je-te-pousse. Dialogues bêtes tablant sur la surenchère. Effets comiques souvent grossiers et poussifs. Réalisation brouillonne. Interprétation dans le ton.

13 ans + (langage vulgaire)
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The Jerky Boys (The Jerky Boys)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 1994. Comédie policière de James Melkonian avec John G. Brennan, Kamal Ahmed, Alan Arkin.

Deux mauvais plaisantins se font passer pour des gangsters auprès d'un caïd de la pègre new-yorkaise. Pochade menée à la va-comme-je-te-pousse. Dialogues bêtes tablant sur la surenchère. Effets comiques souvent grossiers et poussifs. Réalisation brouillonne. Interprétation dans le ton.

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Distributeur :
Buena Vista
Spécialistes des mauvais tours au téléphone, deux copains tombent sur un caïd de la pègre new-yorkaise, auprès duquel l'un d'eux se fait passer pour un gangster de Chicago du nom de Rizzo. N'arrivant pas à se souvenir de cette prétendue vieille connaissance, les mafiosi accueillent avec circonspection les deux émissaires de Rizzo. Les mauvais plaisantins jouent le jeu à fond, mais leur véritable identité est vite découverte.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ayant connu un grand succès avec la publication de deux albums qui rassemblent leurs meilleures blagues téléphoniques, John G. Brennan et Kamal Ahmed ont cru bon s'en inspirer pour en tirer un film. Seulement voilà, le bagout dont on peut faire preuve durant quelques minutes au bout du fil ne garantit nullement que l'on possède l'étoffe d'un acteur. De plus, cette pochade est menée à la va-comme-je-te-pousse et est réalisée dans un esprit des plus brouillons; pour preuve le nombre invraisemblable de scènes où traîne le micro de prise de son. Déversés en argot, les dialogues ne brillent guère par leur finesse et tablent sur la surenchère pour obtenir des effets comiques souvent grossiers et poussifs. Quant à l'histoire, elle se traîne laborieusement autour de deux ou trois gags dont l'efficacité a déjà été épuisée par d'autres réalisateurs.

Texte : Christian Depoorter

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