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Les Tisserands du pouvoir I

Can. 1988. Chronique de Claude Fournier avec Aurélien Recoing, Gabrielle Lazure, Pierre Chagnon. Un vieil homme d'origine québécoise raconte à un reporter la vie qu'il a menée aux États-Unis à l'ombre d'une usine de textile appartenant à une famille française. Récit quelque peu précipité. Situations souvent simplifiées. Mise en scène soignée mais superficielle. Interprètes consciencieux.

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Les Tisserands du pouvoir I (Les Tisserands du pouvoir I)

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Can. 1988. Chronique de Claude Fournier avec Aurélien Recoing, Gabrielle Lazure, Pierre Chagnon.

Un vieil homme d'origine québécoise raconte à un reporter la vie qu'il a menée aux États-Unis à l'ombre d'une usine de textile appartenant à une famille française. Récit quelque peu précipité. Situations souvent simplifiées. Mise en scène soignée mais superficielle. Interprètes consciencieux.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Malofilm
Producteurs :
Assiégé par la police dans une petite ville du Rhode-Island, le vieux Lambert raconte sa vie à un jeune reporter. Venu du Québec, il est arrivé aux États-Unis à l'âge de trois ans; son père s'en venait travailler dans une usine de textile appartenant à une famille française, les Roussel. Le fils du propriétaire, Jacques, était venu étudier à Montréal et avait fait la guerre avant de prendre la direction de la fabrique. Lambert avait lui-même commencé à travailler dans l'usine à treize ans. Il avait assisté au mariage de Jacques Roussel avec Simone, la soeur du docteur Emile, défenseur des ouvriers contre leurs patrons.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Conçu à la fois pour le cinéma (en deux longs métrages) et pour la télévision (en mini-série) le film se veut une saga familiale à la façon de productions françaises ou américaines. Ce premier épisode suit en parallèle les tribulations d'ouvriers canadiens et de leurs patrons français. Le récit apparaît quelque peu précipité et les situations sont souvent simplifiées à l'extrême avec de curieuses coïncidences pour relier les deux mondes. La mise en scène n'est pas dépourvue de soin mais reste un peu trop à la surface des êtres et des choses. Des interprètes consciencieux s'efforcent de donner vie à des personnages schématisés.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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