Le Décalogue: Tu ne tueras point (Dekalog, piec)

Name: Décalogue: Tu ne tueras point, Le
Director: Krzysztof Kieslowski
Genre: Drame psychologique
Released: 2010-11-12 15:56:28
Duration: 57 min.

Pol. 1988. Drame psychologique de Krzysztof Kieslowski avec Krzysztof Globisz, Miroslaw Baka, Jan Tesarz. Un jeune paumé qui a sauvagement tué un chauffeur de taxi est condamné à la peine de mort. Dénonciation de la peine capitale. Approche humaniste. Scénario sous forme de compte rendu. Impression intense de réalisme. Interprètes très convaincus.

Le Décalogue: Tu ne tueras point (Dekalog, piec)

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Pol. 1988. Drame psychologique de Krzysztof Kieslowski avec Krzysztof Globisz, Miroslaw Baka, Jan Tesarz.

Un jeune paumé qui a sauvagement tué un chauffeur de taxi est condamné à la peine de mort. Dénonciation de la peine capitale. Approche humaniste. Scénario sous forme de compte rendu. Impression intense de réalisme. Interprètes très convaincus.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1988

Durée :

57 min.

Réalisation :

Krzysztof Kieslowski

Pays :

Pologne

Distributeur :

Film 2000

Interprètes :

Krzysztof Globisz
Miroslaw Baka
Jan Tesarz

TU NE TUERAS POINT. Alors qu'il passe son examen oral d'admission au barreau, plaidant pour une justice humanisée, le futur avocat Piotr est loin de se douter que son premier client est déjà à l'oeuvre dans les rues de Varsovie. Il s'agit de Yatzek, un jeune homme dans la vingtaine qui, après une errance de quelques heures, en vient à tuer un chauffeur de taxi sans raison apparente. Piotr est impuissant à éviter à Yatzek la peine de mort lors de son procès et il se voit forcé d'assister à son exécution par pendaison.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce cinquième épisode de la série DÉCALOGUE a d'abord circulé comme long métrage sous le titre TU NE TUERAS POINT...Dans la version courte, le rôle du jeune avocat prend plus d'importance, même si l'essentiel des situations est conservé. Le style utilisé ici est très différent de celui des autres films de l'entreprise; les couleurs sont livides et les images masquées en partie par un cache, ce qui rend le récit assez déprimant. L'approche s'avère nettement critique, même si la présentation des situations se veut factuelle et froide. L'interprétation est d'un naturel confondant.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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