image promotion

Juillet en septembre

G
1988
100% est d'accord avec la cote
Une enfant trouvée un 14 juillet devant un phare d'une petite ville de province y retourne à l'âge de vingt ans avec l'espoir de retracer ses origines.
Récit factice et peu convaincant. Développements en porte-à-faux. Jeu artificiel de L. Gabrielli.

L'avis de Mediafilm

Sébastien Japrisot, romancier et scénariste (notamment de L'ETÉ MEURTRIER) est déjà l'auteur d'un film LES MAL PARTIS (1975) sous son véritable nom, Jean-Baptiste Rossi. Son retour à la fonction de réalisateur ne s'imposait pas si ce n'était que pour donner l'existence à un film aussi factice que JUILLET EN SEPTEMBRE. Rien n'y apparaît convaincant tant dans les situations que dans la conception des personnages et le récit se développe continuellement en porte-à-faux. Laetitia Gabrielli prend la pose à la moindre occasion et son jeu apparaît artificiel de bout en bout.

Robert-Claude Bérubé

Synopsis

Elle se fait appeler Juillet parce qu'elle est une enfant trouvée un 14 juillet, devant un phare, dans la petite ville de Cap des Pins dans les Landes. C'est là qu'elle est revenue à l'âge de vingt ans avec l'espoir de retracer ses origines. Employée dans une agence immobilière, elle est logée par sa patronne dans une charmante villa. Juillet s'intéresse à un couple voisin, Marie et Jacques, et arrive à se faire accepter dans leur intimité. Pendant ce temps, un déséquilibré, Emmanuel, assassine des jolies femmes dans les régions environnantes en profitant de son travail de colporteur. Quand il survient à Cap des Pins, il a avec Juillet une rencontre qui s'avère décisive, tellement il est touché par la candeur de la jeune fille.

Année

1988

Genre

Drame de moeurs

Durée

96 min.

Origine

France