Yeelen, la lumière (Yeelen)
Yeelen, la lumière (Yeelen)
L'avis de Mediafilm
Souleymane Cissé est un réalisateur africain qui a déjà réalisé deux ou trois longs métrages importants. Dans YEELEN (titre qu'on peut traduire par LA LUMIÈRE), il a voulu évoquer des traditions ancestrales fondées sur des croyances animistes. Il en résulte un film sur le thème du voyage initiatique dont le traitement est riche en images d'une grande beauté. Le mouvement est le plus souvent lent et solennel à la manière d'un rituel et divers développements apparaissent plutôt sibyllins. L'interprétation donne dans un hiératisme un peu forcé.
Synopsis
Il y a une dizaine de siècles, Nianankoro, un jeune homme de l'ethnie Bambara, doit fuir la colère de son père qui craint de perdre à son profit ses pouvoirs magiques. Au cours de sa randonnée, Nianankoro découvre qu'il a lui aussi certaines facultés merveilleuses et impressionne ainsi le roi d'une tribu qui lui fait don de sa plus jeune femme. Un peu plus tard, il reçoit d'un oncle une arme mystique, l'aigle de Koré, qui lui permettra d'affronter le pilon magique de son père dans un duel cosmique décisif.
Année
1987Genre
Drame poétiqueDurée
105 min.Origine
MaliInformation
Classification
Genre
Drame poétique
Année
1987
Durée
105 min.
Réalisation
Scénario
Photographie
Musique
Montage
Pays
Mali
Distribution
Métropole Films Distribution
Interprètes
Récompenses
Festival de Cannes, Prix du jury, 1987