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Someone to Love

G
1987 ·
100% est d'accord avec la cote
Souffrant lui-même de problèmes sentimentaux, un réalisateur réunit diverses personnes en mal d'amour pour discuter de relations humaines.
Sujet traité sur un mode ironique assez intéressant. Réalisation souple. Présence imposante d'O. Welles. Interprétation détendue.

L'avis de Mediafilm

Auteur d'une demi-douzaine de films, Henry Jaglom poursuit dans le cinéma américain une carrière indépendante et marginale. Ses dernières oeuvres s'inspirent le plus souvent d'expériences personnelles transposées selon un mode ironique et autocritique assez intéressant. SOMEONE TO LOVE ressemble à une séance d'improvisation même si les dialogues ont été mis au point à l'avance et l'interprétation se situe dans un climat de détente perceptible, malgré les frustrations exprimées par l'un et par l'autre personnage. L'ensemble profite énormément de la présence imposante d'Orson Welles, bien qu'il apparaisse à l'évidence que sa contribution a été filmée d'une seule traite puis insérée au montage.

Robert-Claude Bérubé

Synopsis

Quand son frère Mickey vient de New York à Los Angeles pour se débarrasser d'une propriété familiale, en l'occurrence une salle de spectacle fermée depuis quelque temps, le réalisateur Danny Sapir a une idée. Souffrant lui-même de problèmes dans ses relations sentimentales avec la chanteuse Helen Eugene, il réunit un jour de la Saint-Valentin diverses personnes semblablement en mal d'amour pour discuter de solitude et de relations humaines devant une équipe de tournage, Helen est invitée elle aussi, mais n'apprécie pas outre mesure cette initiative. La rencontre profite par ailleurs des propos d'un cinéaste réputé.

Année

1987

Genre

Comédie de moeurs

Durée

109 min.

Origine

États-Unis

Information

Classification

G

Genre

Comédie de moeurs

Année

1987

Durée

109 min.

Réalisation

Pays

États-Unis

Distribution

Del Fuego