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La Ligne de chaleur

G
1988 · The Heat Line (ang)
100% est d'accord avec la cote
En allant chercher le corps de son père qui vient de mourir en Floride, un divorcé est obsédé par ses souvenirs au point de négliger son fils.
Démarche introspective estimable mais au résultat inégal. Étude valable des liens de paternité. Interprétation manquant un peu de nuances.

L'avis de Mediafilm

Allant délibérément à contre-courant des exigences commerciales, le cinéaste a voulu tourner son premier long métrage dans une veine introspective où l'imagination se mêle à la réalité. La démarche est estimable, mais le résultat n'est pas des plus convaincants. Le récit s'attarde sur des incidents dont l'utilité n'apparaît pas toujours à l'évidence. Il y a pourtant là une étude valable des liens de paternité dans un contexte de "road-movie" à la québécoise. L'interprétation manque un peu de nuances.

Robert-Claude Bérubé

Synopsis

Robert Filion est appelé à se rendre en Floride pour en ramener le corps de son père qui vient de mourir. Il emmène avec lui son jeune fils Maxime, dont il a la garde en certaines occasions à la suite de son divorce. Une fois rendu à Miami, il met le cadavre sur un train à destination de Montréal et décide de rentrer avec Simon par la route dans la voiture du défunt. S'ensuit une longue randonnée où Robert revoit les étapes des divers voyages qu'il a faits avec son père lorsqu'il était jeune. Obsédé par ces souvenirs comme par l'idée de la mort, il néglige Simon et celui-ci s'attache à un voyageur qui s'obstine à les suivre. Dans un motel de Virginie, les angoisses de Robert culminent en une crise douloureuse.

Année

1988

Genre

Drame psychologique

Durée

90 min.

Origine

Canada

Information

Classification

G

Genre

Drame psychologique

Année

1988

Durée

90 min.

Réalisation

Photographie