É.-U. 1986. Science-fiction de James Cameron avec Sigourney Weaver, Michael Biehn, Paul Reiser. Des soldats aguerris sont dépêchés au secours d'une colonie d'humains installés sur une planète qui est peuplée de créatures monstrueuses. Suite fort réussie du film "Alien". Préséance aux scènes d'actions. Mise en scène à l'emporte-pièce. Interprétation déterminée.
Des soldats aguerris sont dépêchés au secours d'une colonie d'humains installés sur une planète qui est peuplée de créatures monstrueuses. Suite fort réussie du film "Alien". Préséance aux scènes d'actions. Mise en scène à l'emporte-pièce. Interprétation déterminée.
James Cameron, le réalisateur de TERMINATOR prend la succession de Ridley Scott pour cette suite d'une grande réussite du genre, ALIEN. Même si l'approche est différente, ce deuxième épisode n'est pas indigne du précédent. Là où Scott favorisait le mystère et les effets de surprise, Cameron donne préséance à l'action pure dans une mise en scène à l'emporte-pièce. Sans être particulièrement approfondis, les personnages sont bien campés dans une conception éprouvée qui apparente cette aventure aux bons vieux films de guerre. L'affrontement final donne lieu à un spectacle son et lumière d'une impressionnante efficacité. Sigourney Weaver reprend son rôle avec une détermination conquérante.
Texte : Robert-Claude Bérubé
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Le mélange parfait d'action, d'horreur et de science-fiction. Sans négligé le suspense, Cameron ne montre pas tout de suite les Aliens, mais aussitôt fait, l'action et les obstacles ne font que croitre pour une confrontation finale anthologique. Sigourney Weaver incarne avec force un personnage (Ripley) qui représente désormais un archétype féminin du film d'action.
J'attribue à ce film la Cote
Fr. 2019. Documentaire de Agnès Varda. Classement: Général.
À 90 ans, Agnès Varda passe en revue sa filmographie, ses expériences de photographe ainsi que ses récentes incursions en arts visuels. C'est également pour elle l'occasion d'évoquer son passé féministe et sa relation complice avec son défunt époux, le cinéaste Jacques Demy.
Par : Michaël Gagnon, Sherbrooke
Suite spectaculaire, mais tonitruante du classique de 1979. Action menée rondement. Bons effets visuels. Bande sonore dynamique. Conclusion prenante, quoique prévisible. Interprétation physique de S. Weaver.
J'attribue à ce film la Cote