Dust

Name: Dust
Director: Marion Hansel
Genre: Drame psychologique
Duration: 87 min.

Bel. 1985. Drame psychologique de Marion Hansel avec Jane Birkin, Trevor Howard, John Matshikiza. Dans une ferme isolée d'Afrique du Sud, une femme en vient à ne plus supporter la liaison que son père entretient avec l'épouse d'un serviteur. Récit adapté du roman de J.M. Coetzee. Tension dramatique bien amenée. Mise en scène lente et mesurée. Direction d'acteurs assurée.

Dust (Dust)

13 ans +

Bel. 1985. Drame psychologique de Marion Hansel avec Jane Birkin, Trevor Howard, John Matshikiza.

Dans une ferme isolée d'Afrique du Sud, une femme en vient à ne plus supporter la liaison que son père entretient avec l'épouse d'un serviteur. Récit adapté du roman de J.M. Coetzee. Tension dramatique bien amenée. Mise en scène lente et mesurée. Direction d'acteurs assurée.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1985

Durée :

87 min.

Réalisation :

Marion Hansel

Scénario :

Marion Hansel
D'après le roman de J.M. Coetzee

Pays :

Belgique
France

Distributeur :

Prima Film

Interprètes :

Jane Birkin
Trevor Howard
John Matshikiza

Magda vit seule avec son père veuf sur une ferme isolée d'Afrique du Sud. Elle n'a avec lui que des rapports froids et occasionnels et n'est guère traitée que comme une servante. Un jour, un serviteur noir, Hendrik, ramène à la ferme sa jeune femme, Anna, qu'il vient d'épouser. Le père de Magda se prend d'intérêt pour Anna et finit par en faire sa maîtresse. Exacerbée, Magda tue son père et Hendrik l'aide à l'enterrer. Comme Magda ne peut plus payer Hendrik, celui-ci devient violent, s'impose à elle et occupe la maison avec Anna.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après avoir traité dans son premier film, LE LIT, un sujet intimiste dans un décor limité, Marion Hansel semble vouloir emprunter cette fois des horizons plus larges, mais son récit est toujours réduit à des relations entre un très petit nombre de personnages. Elle a eu la coquetterie de tourner en anglais, dirigeant avec sûreté des comédiens chevronnés aussi bien que des acteurs noirs peu connus. Une tension certaine s'établit à travers des activités restreintes mais décrites avec art dans une mise en scène lente et mesurée. Le récit prend parfois des allures de cauchemar et pourrait d'ailleurs bien n'être que le rêve d'une femme frustrée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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