Remarquable

En haut des marches

Name: En haut des marches
Director: Paul Vecchiali
Genre: Drame psychologique
Duration: 92 min.

Fr. 1983. Drame psychologique de Paul Vecchiali avec Danielle Darrieux, Hélène Surgère, Nicolas Silberg. Après des années d'absence, une femme revient dans sa ville natale pour venger son mari tué mystérieusement à la fin de la guerre. Exploration complexe d'un univers mental. Mise en scène habile. Composition visuelle bien orchestrée. Jeu touchant de la protagoniste.

En haut des marches (En haut des marches)

Général

Fr. 1983. Drame psychologique de Paul Vecchiali avec Danielle Darrieux, Hélène Surgère, Nicolas Silberg.

Après des années d'absence, une femme revient dans sa ville natale pour venger son mari tué mystérieusement à la fin de la guerre. Exploration complexe d'un univers mental. Mise en scène habile. Composition visuelle bien orchestrée. Jeu touchant de la protagoniste.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1983

Durée :

92 min.

Réalisation :

Paul Vecchiali

Scénario :

Paul Vecchiali

Photographie :

Georges Strouvé

Musique :

Roland Vincent

Montage :

Franck Mathieu
Charles Tible
Paul Vecchiali

Pays :

France

Distributeur :

Crépuscule

Interprètes :

Danielle Darrieux
Hélène Surgère
Nicolas Silberg
Françoise Lebrun
Sonia Saviange
Michel Delahaye
Gisèle Pascal
Micheline Presle
Myriam Mézières
Jean-Claude Guiguet

En 1963, Françoise Canavaggia rentre à Toulon où elle a vécu plusieurs années avec son mari tué mystérieusement à la fin de la guerre. Celui-ci était fonctionnaire du gouvernement de Vichy. Absente depuis quelques années, Françoise est vraisemblablement venue se venger. Un commissaire de police cherche en vain à connaître ses intentions. La soeur de Françoise, Suzanne, fait en sorte de la rencontrer bien que la revenante semble chercher à l'éviter. Françoise ne révèle pas son obsession d'abattre ses belles-soeurs qui vivent maintenant dans la villa qu'elle habitait avec son mari.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Voilà un film qui n'est pas facile à suivre mais qui ne manque pas d'intérêt pour autant. C'est l'exploration d'un univers mental où les points de repère sont incertains, mais que l'on finit par baliser avec un peu d'attention. La construction est nécessairement complexe mais la mise en scène sait ménager habilement les aperçus sur le passé, le présent, l'imaginaire et le réel. Certains incidents reviennent tels des leitmotivs dans une composition visuelle savamment orchestrée. Danielle Darrieux occupe le centre du drame avec une émotion contrôlée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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