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Christine

É.-U. 1983. Drame fantastique de John Carpenter avec Keith Gordon, John Stockwell, Alexandra Paul. Un adolescent timide achète une vieille automobile qui se révèle dotée de pouvoirs maléfiques. Adaptation d'un roman de Stephen King. Touches d'humour noir. Trucages étonnamment réussis. Dramatisation plutôt simpliste. Interprètes peu convaincants.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Christine (Christine)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1983. Drame fantastique de John Carpenter avec Keith Gordon, John Stockwell, Alexandra Paul.

Un adolescent timide achète une vieille automobile qui se révèle dotée de pouvoirs maléfiques. Adaptation d'un roman de Stephen King. Touches d'humour noir. Trucages étonnamment réussis. Dramatisation plutôt simpliste. Interprètes peu convaincants.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Bill Phillips
D'après le roman de Stephen King
Photographie :
Montage :
Arnie, adolescent timide, achète à vil prix une vieille automobile qu'il entreprend de remettre à neuf. Son meilleur ami, Dennis, apprend que le précédent propriétaire de la voiture s'est suicidé après d'étranges expériences. Il craint pour la santé mentale d'Arnie dont le caractère se transforme. Maintenant plein d'assurance, l'adolescent fait la conquête de la plus jolie fille de l'école. Des voyous s'en prennent à l'auto qu'ils démolissent, mais la machine se répare d'elle-même; elle semble habitée d'un étrange pouvoir et s'attaque aux ennemis et même aux amis de son propriétaire.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'idée de conférer une personnalité à une voiture n'est pas tout à fait neuve puisque déjà les productions Walt Disney l'ont utilisée pour THE LOVE BUG. La différence ici, c'est que l'auto est nettement maléfique et que le film a des allures d'histoire d'épouvante. Quelques touches d'humour noir trouvent place dans le récit et des trucages étonnamment réussis attirent l'attention. Il reste que la dramatisation s'avère un peu simpliste et que les personnages manquent d'épaisseur. Les interprètes jouent le jeu avec un minimum de conviction.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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