Remarquable

Eaux profondes

Name: Eaux profondes
Director: Michel Deville
Genre: Drame psychologique
Duration: 94 min.

Fr. 1981. Drame psychologique de Michel Deville avec Jean-Louis Trintignant, Isabelle Huppert, Sandrine Kljajic. Un mari apparemment complaisant se met à tuer les amants de sa femme. Adaptation réussie d'un roman de Patricia Highsmith. Oeuvre fascinante. Subtilités psychologiques. Illustration de qualité. Interprétation convaincante.

Eaux profondes (Eaux profondes)

13 ans +

Fr. 1981. Drame psychologique de Michel Deville avec Jean-Louis Trintignant, Isabelle Huppert, Sandrine Kljajic.

Un mari apparemment complaisant se met à tuer les amants de sa femme. Adaptation réussie d'un roman de Patricia Highsmith. Oeuvre fascinante. Subtilités psychologiques. Illustration de qualité. Interprétation convaincante.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1981

Durée :

94 min.

Réalisation :

Michel Deville

Scénario :

Christopher Frank
Florence Delay
Michel Deville
D'après le roman de Patricia Highsmith

Photographie :

Claude Lecomte

Musique :

Manuel de Falla

Montage :

Raymonde Guyot

Pays :

France

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Jean-Louis Trintignant
Isabelle Huppert
Sandrine Kljajic
Éric Frey
Christian Benedetti
Bruce Myers
Bertrand Bonvoisin
Jean-Luc Moreau
Robin Renucci
Philippe Clévenot
Martine Costes
Jean-Michel Dupuis
Évelyne Didi
Bernard Freyd

Un parfurmeur français, Victor Allen, vit sur l'île de Jersey avec sa femme Mélanie et sa fille Marion. Il semble accepter avec complaisance les flirts de Mélanie, mais avertit les amants éventuels qu'il ne peut souffrir la vulgarité et qu'il a déjà éliminé un rival qu'il trouvait mal assorti, ce qui peut n'être que bravade cynique. Victor passe cependant aux actes et en vient à tuer deux soupirants sans attirer l'attention. La police classe l'affaire et, malgré ses soupçons, Mélanie sent resurgir son amour pour son mari.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Patricia Highsmith a déjà fourni à divers cinéastes (Alfred Hitchcock, Wim Wenders, Claude Miller) la matière de films fort valables. Michel Deville (LE DOSSIER 51) est venu à son tour pêcher dans ces eaux fertiles et il en résulte une oeuvre fascinante tant pour ses subtilités psychologiques que par la souplesse de sa narration et la qualité de son illustration. Comme d'habitude, le réalisateur sait évoquer des blessures secrètes sous d'apparentes frivolités. Le jeu de ses interprètes sert fort bien son propos.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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